Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 18:35
II
LE RENDEZ-VOUS
 

Le surlendemain il se connecta en début d’après midi. Il me dit :

« bon Déborah , je me sens d’humeur lubrique aujourd’hui j’aurais besoin d’une pute soumise prête à me vider les couilles, seras tu disponible ce soir ? »

Je lui répondis que oui. Il me donna quelques menues instructions :j’avais le droit de m’habiller comme je le voulais mais pas de petite culotte ou de string ; je devais aussi acheter 3 ou 4 courgettes de tailles différentes ainsi que du lubrifiant ; faire une série de quatre photos une de mon visage en gros plan, une de ma chatte lèvres ouvertes, une de mon cul fesses écartées et une de moi vue du dessous ma chatte bien visible et mon visage dans le prolongement . Il conclu en écrivant :

« et ne te tripote pas la chatte petite pétasse ! »

 Le rendez vous était donc pris pour vingt heure trente vingt et une heure. Je me mis de suite au boulot fonçant dans la douche. Je m’habillai de façon assez simple mais tout de même un peu sexy. Un jean très moulant, des bottes à talons, un t-shirt dos nu, ma veste en cuir et évidemment pas de petite culotte !!! Je partis faire mes emplettes. Je m’amusai beaucoup de la situation lorsqu’a la caisse je passais avec les courgettes et le lubrifiant, avait-elle fait le rapprochement ? Je ne suis pas sûre mais rien que l’éventualité me ravissait. Je rentrai ensuite chez moi. J’allais prendre les photos quand je me rendis compte que ma minette était un peu broussailleuse. Je commençais à la raser comme je le fait à mon habitude c’est à dire un petit triangle couper court. Mais finalement me disant que cela lui ferait certainement plaisir je rasa tout. C’est donc une photo de ma chatte bien lisse que je lui envoyais. Celle de mon visage ne fût pas très compliquée à prendre. Celle de mon trou, fesses écartée ne fût pas trop complexe non plus, mais la dernière fut un vrai challenge !Je bloquai la cam entre mes pieds, cadré le mieux possible, je dus en prendre quelques unes avant d’avoir un résultat satisfaisant. Je me maquillais ensuite me coiffais etc. J’avais encore une heure et demi a attendre…je bu un verre de crème de whisky afin de me détendre un peu, en vain. Je fumai aussi quelques cigarettes, nerveusement écrasées dans le cendrier. J’appréhendais un peu, mais cette sensation était délicieuse et très stimulante. C’était un vrai supplice de ne pas pouvoir me masturber mais en soumise bien obéissante je ne le fît pas.

 

L’heure approchait, je retouchai un peu mon maquillage et m’installai devant le pc. Je pensais bien qu’il arriverait plutôt vers 21h00 mais peut-être aurait-il envie de tester ma ponctualité ?Il se connecta à 21h05.

-ma petite poufiasse est-elle prête ?
-Je vous attendais…

Après m’être faite félicitée sur l’application que j’avais mis à accomplir mes devoirs, interrogée afin de savoir si j’avais été sage et que je ne m’étais pas tripotée, il ne se priva pas de me dire au passage quand je mettais trop de temps à répondre « dépêche connasse ! », je l’appelai.

Le son de sa voix, à la fois doux et ferme me charmait. Il m’avais demandé si j’avais des épingles à linge en début d’après midi me disant que c’était bon à savoir. J’avais donc mis quelques épingles à disposition. J’avais bien fait car il m’ordonna d’en pincer une sur chaque sein ne prenant qu’un tout petit bout de tétons afin que cela fasse le plus mal possible . Puis il me demanda si j’avais lavé les courgette, j’avais complètement oublié ! Je fus très touchée par cette attention. Tout en les lavant je me répétai :il me faut vraiment un gode !!! Une fois revenue devant le pc nous pouvions commencer les choses sérieuses.

 « Montre moi ta chatte en gros plan !Ecarte bien les lèvres. J’t’ai pas dit  de te branler ! Voilà, elle me semble bien trempée ! ».

Pour commencer je devais choisir la courgette la plus petite et lui montrer jusqu’ou je pouvais l’enfoncer dans ma gorge, m’obligeant au passage à m’exercer à l’articulation, me faisant répéter des phrases assez humiliantes. Je me rappelle bien d’une phrase, qu’il m’avait faite répéter deux fois  

 « J’ai pas bien compris là, je suis sur que tu peux faire mieux !

-Je suis une bonne soumise et je m’applique à bien vider les couilles de mon Maître. » Prononçais-je du mieux que je puis.

 Ce fut la première fois que je l’appelai Maître, je ne saurais dire pourquoi mais cela me fit quelque chose, quelque chose de très agréable cela dit. Le cucurbitacée n’étant pas souple il se cogna vite aux parois de ma gorge, la ou un sexe plus souple aurait pu encore se glisser. Il fut malgré tout surpris par ma capacité buccale je pense, et incité à remplacer ce légume par sa queue. Je sortais bien la langue léchant ainsi une paire de couilles imaginaire.

« T’as vu tout c’que tu met ! Tu m’as l’air d’être une belle salope ! »

Je pouvais maintenant enlever les pinces à linges, en desserrant tout doucement pour que cela soit plus douloureux. Je poussa un petit bruit de douleur(du genre :chssssi). Petit supplice, grand délice !Je dus maintenant enduire la courgette  de gel, en la branlant comme je m’y serais prise avec une vraie bite.

« Vas-y, tu peux te branler maintenant ! Tu l’as bien mérité ! »

Je commençai donc à stimuler mon clito, les doigts encore plein de gel, glissant vers la fente, me doigtant…

« maintenant tu vas te mettre la courgette dans la chatte ».

 Je commençai doucement l’enfonçant de plus en plus, cela m’arrachant quelques gémissements au passage :

« aller lime toi bien, fais toi bien jouir ! »

Je m’exécutai évidemment sans rechigner !J’étais très excitée l’orgasme ne fut pas très long à venir. Il sembla apprécier le spectacle. J’étais toute transpirante, encore essoufflée, mes doigts continuaient à tortiller mon clitoris. Il m’indiqua de nettoyer la courgette, avec ma langue bien entendu :

-Ca t’arrive de lécher tes doigts après t’être branlée ?Il ne se lasse pas de me faire avouer qu‘elle belle salope je suis .

-Oui

-Souvent ?Ne se contentant pas d’un simple oui évidemment.

-A chaque fois. »Il ria.

  Il me dit alors de prendre la courgette la plus grosse(et j’avais été gourmande !!!). Il voulais que je la mesure, mais je n’avais rien sus la main, alors tant pis. Je réitérai la même opération qu’avec la première l’enduisant généreusement de gel :

 « met la le plus profond que tu peux. Aller j’suis sur que tu peux encore !

-Elle est au max maintenant.
-Ok. Ca va ?

-Ca fait un peu mal .Elle était tellement large que cela en était douloureux.

-Ok, garde la encore un peu. Je suppose qu’il devait se délecter de ma mine inconfortée, prenant immanquablement le temps qui lui était nécessaire.

-Tu peux l’enlever. »

Je fus ainsi soulagée de cette queue pour le moins insolite . Il me confirma ce que je pensais déjà :

« Il te faut un bon gros gode, bien réaliste, avec un gland bien dessiné et de belles veines. ».

Nous discutâmes encore quelques temps puis il me dis qu’il fallait qu’il raccroche, mais qu’il en était bien incapable.

« Raccroche, c’est un ordre ! ».
 

Après cette première « séance » virtuelle j’aurais dû être fatiguée et bien dormir, mais non j’étais bien trop troublée, trop excitée. Je me mis au lit, tournant, virant, pensant à toutes les choses qu’il m’avait dites. Dans la soirée il m’avais signifié que je pouvais avoir d’autres Maîtres cela ne le dérangeait pas, je ne lui avais pas vraiment répondu, j’avais trouvé là un bon prétexte pour lui écrire un courrier . Je me relevai d’un coup rallumai mon pc et lui écrit :

 

« Je m'étais mise au lit me disant que c'était l'occasion de me coucher tôt mais impossible de trouver le sommeil. Je vous écris aussi pour vous remercier de cette agréable soirée. Je n'aurais d’ailleurs jamais pu raccrocher si vous ne me l'aviez ordonné c’est que j’aime vous entendre parler.

Je voulais vous dire également que si je ne tiens pas à suivre d'autres relations D/s pour l’instant  c'est que je voudrais que ma "première fois" soit avec vous, vous m'avez touchée .Je suis très instinctive en ce qui concerne les rapports humains. Parfois je me trompe mais quand bien même les déceptions font partie de la vie .J’ai l’impression qu'une sensibilité commune nous lie (ou quelque chose du genre) et m'incite à vouloir vous offrir le meilleur de moi-même.

Je n'ose vous embrasser tendrement mais ...

A bientôt

Votre dévouée et soumise déborah.

PS :04h35…les oiseaux vont manger des courgettes demain… »

 

Il se connecta le lendemain soir. Je me débarrassais très poliment alors de quelques interlocuteurs, j’étais sur mon adresse spéciale . J’avais l’habitude de tenir plusieurs discutions en même temps mais j’aimais être complètement disponible pour lui. Lorsque ce fut fait je le lui signalai. Après m’avoir fait les politesses d’usage il m’interrogea :

« Tu t’es branlé aujourd’hui ?

-Oui. Je répondais toujours un peu timidement à ce type de questions.

-Combien de fois ?

-une seule, mais elle a durée une heure.

-Yes !!!  Avec les doigts ?

-Oui .

-Assise sur ton lit, cuisses ouvertes, chatte trempée ?

-Par moment, à d’autre j’étais sur le ventre.

-Que pouvait-il bien se passer dans ta petite tête à ce moment là ?Je peux savoir ?

-J’ai pensé au moment ou les mains attachées dans le dos je vous sucerais jusqu’à vous en lécher les couilles. J’ai aussi penser au plaisir d’échanger des baisers, des caresses et des coups de langue avec une femme  tandis qu’un homme vous regarde.

- C’est malin je bande ! Je trouve ça très bandant de te voir avec une autre femme, vous brouter mutuellement la chatte comme deux grosses salopes ! Ca me plairais beaucoup. On pourra certainement projeter ça, mais pour notre premier rendez vous je te veux toute entière et rien qu’à moi. »

Je fut encore une fois très flattée de cet intérêt. Je ne le voyais jamais, il ne branchais pas sa cam. Il m’avait dit que c’était car il n’aimait pas son image avec la cam, mais je me posais tout de même la question de savoir si ce n’était pas encore un moyen de tester ma confiance, une autre manière subtile d’imposer sa dominance. Malgré cela je pouvais sentir son regard posé sur moi, et souvent lorsque nous discutions je fermais les yeux m’imaginant le contacte de ses mains sur ma peau, son souffle sur ma nuque, et sa queue raide contre mes fesses. Avant d’aller se coucher il voulu voir ma chatte, je pouvais garder mon t-shirt mais je devais enlever le bas et écarter mes cuisses et mes lèvres pour lui. Il rajouta « Exécution ! ». Je me prêtai au jeu et me dépêcha d’obéir. Puis une fois rassasié je pu me rhabiller. Il semblait satisfait.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 23:16
Noir Désir
 
Elle va où elle veut
1992  "Du Ciment Sous Les Plaines"

Je sais où la trouver
elle sait où me voir
toujours employés
à réduire les écarts
quand on l'approche enfin
aussi près qu'on aille
on ne possède rien

elle va où elle veut

du feu du bruit
pour mériter le silence
au bout du compte
ça ressemble à de la chance
et comme on dit parfois
si tu tiens à toi
ne fais jamais comme eux

elle va où elle veut

si tout file entre nos doigts
les jeux qui nous tiennent
resteront toujours là
y'a rien à dire de plus
depuis toujours
c'est une chose entendue

elle va où elle veut
 
Par Coquelicot - Publié dans : humeur du jour
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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 23:12
 
CHAPITRE I
Même moi, jeune femme aux mœurs pourtant libérées j’avais encore quelques fantasmes inavoués.
I
LA RENCONTRE
Un jour alors que je prenais quelques photos pour mon petit ami qui vivait loin, l’idée me vint qu’il n’y avait pas de raison qu’il n’y ai que lui qui en profite ! Je postai donc un sujet dans un forum choisi presque au hasard (j’étais venue m’y promener au fil de mes pérégrinations internautes). Il s’agissait juste de deux photos très soft de moi : la première en dessous noirs ,assise sur une chaise la main glissée dans le slip, la deuxième nue de dos ,genoux posés sur la chaise le bras passé dans l’entre jambe. Elles étaient un peu floues, naïves et pourtant tellement suggestives.
 
Suite à ce sujet je reçu bon nombre de messages privés, abordés tantôt avec une certaine délicatesse tantôt de façon très directe. L’idée d’avoir tout un troupeau d’hommes fantasmant sur mes photos se déroulant joyeusement la trique, m’amusait beaucoup. J’avais déjà quelques amants virtuels mais là ma liste de contacte msn n’était pas loin d’exploser. J’ai toujours beaucoup d’égare pour mes différents partenaires et entretiens avec chacun une relation différente : avec certain nous ne faisons qu’échanger nos fantasmes et autres histoires cochonnes tandis que d’autres s’exhibent devant moi sans pouvoir me voir devant se contenter de se que je tape puis d’autres avec qui nous partageons le plaisir de nous regarder nous masturber . Mais un message privé retint mon attention plus que les autres.
 
Un homme ,après m’avoir complimenté, se présentait à moi : parisien de 35 ans, attiré par les relations de Domination/soumission ayant quelques années de pratique dans ce domaine. Hétéro, hors milieu, plutôt cérébral, très voyeur et exhibitionniste, clean, plutôt mignon. Il m’écrit qu’il était en recherche d’une jeune femme voyeuse qui assisterait à une de ses séances, lui et une de ses soumises aimant beaucoup l’idée. Il termina son message me remerciant de mon attention et conclue  par « Au plaisir de vous lire ».Ces mots si anodins me touchèrent pourtant beaucoup. Ils réveillèrent en moi ce désir inavoué de soumission. Prenant alors mon courage à deux mains je passais à mon cou une ceinture en cuir cloutée que je pouvais enroulé et porter en collier et pris deux photos. Puis je les lui postais ajoutant un petit mots :
« si les relations D/s m'intéressent ? Je dois avouer que oui...je vous envoie d'ailleurs deux petites photos de moi qui peut-être vous plairont. ».Il s’était adressé à moi en me vouvoyant la moindre des corrections c’était que je le vouvoie en retour.
J’avoue avoir attendu sa réaction avec une certaine impatience. Il trouva mes photos très inspirantes et me fit part de son envie de passer sa laisse à mon joli collier .Je ne pu que lui répondre :
« J'aurais presque envie de vous dire...attachez moi. »
 
Il décida alors que nous pouvions faire plus ample connaissance, mais pas sans établir une première règle :il me tutoyait mais moi je devait le vouvoyer. En lisant ces mots je frissonnai déjà. Nous échangeâmes par la suite quelque messages, il m’expliqua  ce qu’il attendait d’une soumise tandis que moi je lui expliquai  que je n’avais aucune expérience en la matière mais que j’étais très désireuse d’apprendre et de lui permette de poussé doucement mes limites. Je lui communiquai mon adresse msn, enfin mon adresse spéciale. Au premier contacte je n’étais pas devant mon pc, je l’avais donc raté, quel dommage. Je lui adressai un mail dès que je me rendis compte de mon indélicatesse.
Je ne le manquai pas la deuxième fois .Mon cœur battait si fort que je cru qu’il allait arracher ma cage thoracique, j’étais toute tremblante. Il me demanda assez vite de brancher ma webcam . J’ai pris comme habitude de ne jamais ni montrer mon visage ni donner mon vrai prénom aux hommes que je rencontre sur le net, question de préservation et de prudence .Mais quand il me demanda de montrer mon visage je ne bronchai pas, quand il me demanda  mon prénom je le lui dis. Il voulait entendre ma voix, il me communiquai donc son numéro de téléphone. Je le pianotai avec une certaine lenteur ,un peu comme j’aurais tournée ma langue sept fois dans ma bouche avant de dire une bêtise. Il décrocha…J’étais très intimidée et très troublée, ma voix devais trembler . Son timbre me fis vibrer tout de suite .Je me retrouvai  assez vite en tenue légère devant ma webcam, j’en avais pourtant l’habitude mais là je ne sais pas j’avais perdu toute l’assurance que je pouvais généralement avoir face aux hommes, je me livrais à lui toute entière. En quelques minutes il m’avait mise à nue, me faisant avouer mes envies, se délectant de mon appétit débordant pour les hommes.
N’ayant pas de gode il me demanda si j’avais quelque chose sous la main qui aurait pu faire l’affaire une courgette ou un truc du genre, dans la précipitation je ne trouvai  qu’un vieux manche de wok en bois que je nettoyai  le téléphone coincé sous l’oreille..Je revins devant la cam. Je n’avais de cesse de me répéter «  un manche de casserole…pourquoi n’ai-je pas un gode ! » . Je devais en premier lieu lécher le manche comme j’aurais léché une queue, le sucer, je m’appliquai  beaucoup à cette démonstration je voulais qu’il puisse s’imaginer quelle bonne suceuse je suis. . Au moment où il me dît  
 « Tu vois Déborah tu vas prendre ton manche de casserole et tu vas bien te limer la chatte avec . »
Un frisson balaya mon échine, sa manière de dire les choses comme elles sont m’excitait vraiment(à vrai dire cela me fait toujours un sacré effet !). Il me fallait donc  me masturber avec ce manche l’enfoncer bien au fond de ma chatte ,tout entier si possible. Et bien qu’il voulait être en forme pour le lendemain car il avait une séance avec l’une de ses soumises  il se branla me disant «  T’es contente hein ! », en effet je l’étais. Après avoir raccroché nous  restions discuter sur msn. Il m’interrogea sur la taille de mon anus m’expliquant qu’il s’informait ayant l’intention de me le farcir au moyen d’un bon plug avant de me sortir promener avec. Sur le coup j’ eue un temps d’arrêt, en effet la première image qui me vint à l’esprit à ce moment là c’était moi toute nue le plug bien au chaud tenue en laisse par mon très cher Maître, avançant à quatre pattes dans le gazon. Je compris à la seconde même qu’il ne s’agissait pas de ça mais néanmoins je ne pu m’empêcher de lui demander quelques précisions. Je ne regrettai pas d’ailleurs car la description qu’il me fit m’alla droit au cœur…en quelque sorte. Il conclu par :
 « comme une vraie petite chiennasse quoi !
-oui comme une vraie petite chiennasse ,j’en suis toute tremblante. » M’empressai-je de répéter.
Il m’envoya quelques photos de généreuses éjaculations faciales, sachant que c’était quelque chose qui m’inspirait beaucoup. Il m’était difficile de les commenter mais je lui fis comprendre qu’elles me plaisaient beaucoup. Il m’avoua qu’il n’avait pas trente cinq ans mais quarante deux, j’en étais ravie j’aime les hommes plus âgés. Quand j’étais petite mon père n’étant pas souvent là je squattais les genoux des amis de ma mère, passant de longues minutes à caresser les poils de leurs bras. Il partagea également une photo de son visage. Je restais un moment après notre conversation observer ce portrait, ne pouvant détacher mon regard du sien ,ses yeux étaient si noirs et il arborait un petit sourire juste assez discret pour révéler toute la lubricité de cet homme.
 
Puis je m’attelai  à faire quelques photos pour lui comme il me l’avait demandé. Je les lui postais dans la foulée. Il apprécia les photos… j’en étais très heureuse. Puis il m’avoua que moi même je l’avais troublé ,moi ? J’ai du relire ses mots afin de m’assurer que j’avais bien vu, cela m’incita encore plus à être une parfaite soumise s’appliquant toujours au mieux à satisfaire l’esprit vicieux de son Maître.
 
Le lendemain soir il se connecta ,j’étais sur mon adresse spéciale mais mon statut était hors ligne cela me permettais ainsi de filtrer mes communications, et oui avec une trentaine de contactes ça peut vite être l’heure de pointe !!! Il voulais me voir mais il est impossible de brancher la cam avec ce statut, je lui communiquais alors mon adresse msn pour les proches, ce qui n’était pas totalement anodin . Il était indéniable qu’une certaine intimité c’était installé entre nous, un lien fort et léger à la fois. Quand au réveil je me précipitais sur ma boîte mail je me moquais de moi même me disant que je ressemblais à une ado !C’était une sensation divinement agréable, je ne m’en lassais pas. Ce jour là nous avons beaucoup discuté, enfin je l’ai beaucoup écouté, répondant à ses questions et lui confiant des choses très personnelles concernant ma vie, ma façon de voir le monde mes envies mes passions etc. Je ne lui ai pas posé beaucoup de questions mais j’ai pour habitude d’apprendre à connaître les gens en les observant et les écoutant, ses réactions face à mes réponses me donnaient déjà bon nombre d’informations. J’aimais qu’en plein milieu d’une conversation anodine il me dise « tu vas déguster ma bite par la même occasion ! », c’était terriblement indécent et cela ne cesse toujours de m’enchanter. Au fil de la conversation je calmais mes tremblements il avait un coté très apaisant, à l’écoute, curieux de me connaître.
Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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