Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 20:34

V

LES FOURMIS

 

Une fois cette tasse de thé terminé il m’invita à poser mes mains sur le tabouret de bar, dos cambré, cul tendu à l’attention de sa bite. Je sentis alors la chaleur de sa paume se poser sur mes reins, descendre un peu et se saisir de ma hanche. Il se mis alors à pénétrer mon petit trou chaud, doucement pour commencer, puis de plus en plus fort. Mes cris se firent aussi plus forts, le tabouret avançait, et moi je m’y agrippais. Lui profitait de ce corps qui était devenu sien, ce corps ne vibrant que pour lui sous les à-coups de son membre. Le jeu prenais de plus en plus son sens, un jeu dont le seul prix est le plaisir, son plaisir et par conséquent mon plaisir. Jamais auparavant je ne m’étais abandonnée ainsi à la faveur d’un homme, mais il n’était pas un homme ordinaire il était mon Maître, mon guide sur cette pente libidineuse et lubrique, mon Maître, mon unique et seul Maître.

Il se retira, et me donnant une petite tape sur les fesses m’ordonnant de rejoindre l’étage. Je m’exécutai sagement. Je me tenais devant le lit lorsqu’il me poussa d’un coup d’épaule, je m’affalais  et déjà je sentis mouiller mon entrecuisses. En effet ces petits gestes affolent  le baromètre de mes ardeurs :

« Sur le dos, chevilles tenues ! »

Il s’allongea sur moi, s’emparant de mon être que je lui cédai volontiers afin qu’il en fasse ce que bon lui semblerait. Il se mit alors à me baiser, je me cambrais malgré l’entrave de son corps, gémissante, brûlante. Il se dressa, se retirant :

« Hum je vais me plugger ce p’tit cul ! »

Mais se ravisa se rappelant ce qu’il venait de prendre, qu’il fallait laisser ma petite rondelle reprendre un peu de souffle ! Il renfourna sa bite, directement en profondeur, vivement, de suite, m’arrachant un petit cris au passage, m’emportant dans son étreinte douce et puissante, m’emportant dans cette délicieuse spirale de plaisir. Puis brusquement bascula :

« Viens sur moi ! »

Je m’empalai alors sur son sexe. Il attrapa mes épaules et m’attira vers lui me susurrant :

« Donne moi ta langue ! »

Il m’embarqua alors dans un de ces longs baisers langoureux et goulu, s’activant en coup de butoir, vigoureusement, ses couilles claquant sur mon clitoris. De plus en plus vite, baisant ma nuque, de plus en plus fort, léchant mon oreille. Moi je m’abandonnai totalement à lui, en bonne chienne docile, me laissant complètement faire, n’étant plus que sensation, n’étant plus que soupirs, gémissements, cris jusqu’à en exploser d’orgasme.  

Il me repoussa doucement, ôtant la capote. Il n’eu pas besoin de me demander que je fus déjà sa pine en bouche, en train de le pomper, salivant du mieux que je pus, lui léchant les couilles. Il s’exclama :

« Tu vas me bouffer le cul tiens ! »

 Je m’exécutai alors, léchant son anus, glissant ma langue à l’entrée, sur le rebord sensible, donnant encore une fois le meilleur de moi même, toujours prête à tout afin de le satisfaire. Il me fit alors comprendre de me remettre à m’occuper de sa bite, ce que je fis sans mot dire bien évidemment, l’engloutissant toute entière. Il posa sa main sur le haut de mon crâne,  appuya, me maintenant ainsi. Je tentai bien de remonter pour reprendre mon souffle, mais il ne me laissa pas ce répit et me fit répéter, à moitié suffocante une de ces phrases dont il a le secret. Le son de ma voix étant noyé par ma salive, je dus alors recommencer jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Il relâcha quelque temps la pression avant de m’y remettre, toujours à la limite de l’étouffement, mes yeux perlant de larmes, sa queue comblant le fond de ma gorge, la déformant certainement, me faisant à nouveau répéter :

« Comment ? J’ai pas bien compris ? 

-Je suis une grosse salope qui s’applique  a bien vider les couilles de son Maître !

-C’est donc ça ! »

Quelques instant plus tard, juste avant de répandre son foutre dans le fond de ma gorge, il s’exclama :

« Mon dieu ! Qu’elle bonne pipeuse tu fais ! Non, pas bonne pipeuse, en fait tu es la meilleure pipeuse qui m’ai jamais pomper ! Aller morue  continue, je ne vais pas tarder à gicler ! »

Il se releva, me plaquant sur le lit, faisant claquer sa pine dans le creux de sa main, au dessus de mon visage. Je pus alors sentir son corps se crisper, avant que ne vienne se rependre sur ma gueule sa jute chaude et visqueuse, se collant à ma peau d’une agréable manière, embaumant de se parfum unique. Il constata quelques instants le spectacle de ma petite face inondée de sperme, puis ramena tout d’un doigt vers ma bouche, et moi l’aidant, rattrapant ce qui aurait pu se perdre sur la couette, c’est que j’ai horreur du gaspillage !Il m’essuya ensuite au moyen d’un mouchoir, je me collai à lui, mon bras entourant son torse, sa main caressant mes cheveux, mon visage, me regardant fixement.

Je commença alors à l’embrasser, à nouveau, tendrement, amoureusement. Il glissa sa main dans mon entrejambe :

« Mais t’es encore trempée ! Quelle salope ! »

Il se entrepris alors de glisser ses doigts plus en profondeur, puis me les fis lécher . Il descendit vers ma vulve, et joua de sa langue sur mon clito, appuyant, tournant, montant, descendant…je commençai à vibrer à nouveau, comme hypnotiser par ses gestes, sous l’emprise de mon propre plaisir, dont il jouait de main de Maître. Et petit à petit je sentis en moi venir le grisant orgasme. Il était à ce moment précis le Magicien détenteur de mes vibrations, la clef de mon émoi le plus sensuel.

Ma petite fleur se fût de plus en plus sensible, et à chacun de ses coups de langues de grands frissons parcourant l’intégralité de mon être, plus fort à chaque instant. Il semblait être à l’écoute de chacun de mes frémissements, de mes cris, et m’emmena à l’extase. Ce ne fut un orgasme, mais une symphonie interprétée en plusieurs actes et crescendo. Je me retrouvai terrassée, allongée sur le dos. J’en eu des fourmis dans les mains, le souffle haletant et le cœur battant. Je crois que certain appellent ça le subspace. Il me fallu quelques minutes avant de me remettre, de pouvoir bouger, m’asseoir, me lever. Il venait de m’entrouvrir les portes du nirvana, jamais alors personne ne m’avait donné autant de plaisir, de toutes les drogues que j’ai pu consommer celle là était certainement la plus forte.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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  • : Tout entière ou la biographie d'une apprentie soumise.
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  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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