Dimanche 10 juin 7 10 /06 /Juin 23:02

Je lis des récits liés a cette délicieuse douleur infligée par son Maître, son Maître bienaimé, et me rend compte que : je suis en manque. En manque de la violente morsure, de la délicieuse douleur qui d’un coup sec vient s’abattre sur la peau rosée, la rougissant, la marquant la zébrant. 

Je me souviens de cette fameuse dictée, ou les unes après les autres j’ai supporté ces séries de 18 coups de règles, venant s’abattre sadiquement sur mes petites fesses.

De cette fois où les coups de martinet me semblèrent si vifs que de grosses larmes virent rouler sur ma joues.

De tous ces petits coups infligés avec amour avec délectation. Tous ces autres sévices humiliants,  avilissants, tous ces jeux qui nous lient.

Par Coquelicot - Publié dans : humeur du jour
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Dimanche 10 juin 7 10 /06 /Juin 22:10
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Captive et offerte.

Attachée pour vous servir, moi votre chose, j’attends soufflante que vous me preniez, qu’à nouveau vous vous empariez de mon corps.

Par Coquelicot - Publié dans : En aparté
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Dimanche 10 juin 7 10 /06 /Juin 14:10

V
LES DE
VOIRS

 

Le lundi dans la journée je reçu un mail:

 "Ma chère élève dévouée,

Ton empressement à satisfaire mes moindres desirs me touche beaucoup. Si je pouvais, en ce moment, prendre ta main et la poser sur la bosse qui déforme mon pantalon, tu t'en ferais une idée plus palpable je pense.

Je suis plus qu'impatient de mettre en oeuvre de nouvelles scènes autour de cette idée de Professeur/élève. Puisque tu es maintenant mon élève, nous allons commencer tout de suite. Dans le cadre de tes cours par correspondance je vais te donner un petit devoir. Il s'agit simplement de faire cracher des bites. Je sais que tu es coutumière du fait mais il est necessaire de ne pas perdre la main. Je veux voir le sperme, preuve de ton application à devenir une élève consciencieuse et experte dans le fait de vidanger des paires de couilles à la chaine. Je te laisse peu de temps pour ça car mercredi matin je pars et je resterais absent jusqu'au dimanche soir suivant et je ne sais pas encore si j'aurai internet à l'endroit où je serai. Je risque donc de ne pas donner de nouvelles d'ici là.
Je t'envoie de nouvelles photos et je te laisse faire tes devoirs comme une bonne élève appliquée.

Ton Maître."

Cela tombait bien, ça faisait quelques temps que je ne m’étais pas amuser à de tels jeux. Je répondais alors avant de me mettre au travail, confirmant que j’avais bien compris mon devoir et que j’allais m’atteler à y travaillé dès l’instant. J’allais en tout premier lieu me doucher et me préparer, en effet  je voulais tout de même donner le meilleur de moi-même à mes galants. Je n’eu pas bien longtemps à attendre avant de trouver un prétendant prêt  à m’aider en giclant devant la cam. Je ne décevais pas mon interlocuteur, me caressant les seins, m’astiquant le clito, me doigtant. Il devait les avoir bien pleines car il ne fut pas très long à balancer la sauce. Petit soucis j’avais effectivement bien appuyer sur capture, mais je pensai qu’à la manière des captures d’écran que je prenais dans les jeux on-line elle allait se ranger quelque part. Je n’arrivai pas à retrouver ce fichier, j’attaquai alors le deuxième rencard que je n’avais toujours pas trouvé de solution .Je n’allai pas pour autant l’éconduire. C’était un jeune homme de dix-huit ans, Damien .Il me demanda assez vite si j’avais un gode(et oui à présent j’en avais un !). Il voulut que je me l’enfile dans la rondelle, néanmoins j’optai tout d’abord pour le plug. Je lui fit bien  comprendre que ce que j’aimais par dessus tout c’était de voir une bonne queue bien gonflée explosée en gros plan. Je m’enfilai cet objet ,après m’être bien préparé l’anus, cul tourné vers la cam. Il apprécia manifestement le spectacle qui s’offrit devant lui. Puis une fois bien ouverte il me dit que maintenant le gode devrait rentrer sans trop de problèmes. Je savais, pour en avoir fait l’expérience la veille qu’en effet il rentrerait. Le spectacle de cette grosse queue de substitution me ramonant joyeusement le trou de balle le fit cracher, néanmoins je ne pu prendre de cliché de cette copieuse jute. Puis le troisième se rappela à mon bon souvenir, j’avais à peine eu le temps de me rhabiller de nettoyer mes nouveaux partenaires. Je tentais de demander quelques conseils à Antoine mon interlocuteur , mon cochon comme j’aimais l’appeler : en vue de sa délicatesse ce surnom n’était pas volé. Il m’expliqua un truc mais cela ne marcha pas vraiment, néanmoins je tentai quelque chose, je collai directement la capture sur Photoshop, dieu merci cela fonctionna ! Je n’étais pas encore très habile et mon timing fût mal calculé et je capturais une bite molle et collé de sperme, un temps trop tard. Mon très cher  Maître se connecta, venant aux nouvelles . Je lui expliquai mes mésaventures et ce n’est pas sans compassion qu’il me signala mon retard, enfin il me restait encore le lendemain après midi, et vue à l’allure à laquelle je faisais juter  ses couilles bien pleines cela devrait être largement suffisant. J’enchaînai un dernier rendez-vous avant d’aller me coucher. J’avais tout de même assurer le spectacle quatre fois d’affilée et je commençai à fatiguer.

Le lendemain matin je me levai, en règle général  lorsque je me réveille le matin la première des choses que je fais c’est de me branler, cela peut d’ailleurs durer assez longtemps, plus d’une heure parfois. Mais ce matin là je n’étais pas forcément d’humeur particulièrement salace. Mais il m’en faut peu pour passer en mode salope, il ne me fallu pas longtemps pour repartir en quête d’un nouveau courtisan. D’ailleurs j’en dégottais un dès le premier quart d’heure. Je le pris en flagrant délit d’éjaculation, mais la définition de sa cam étant tellement dégeux qu’on n’y voyait pas vraiment le sperme. Une fois satisfait et couilles vidées je le laissai et répondis à la demande d’un nouveau candidat. Il m’offrit d’ailleurs mon premier cliché impeccable, on y voyait son jus couler sur sa main et sur sa queue maintenant luisante. Celui d’après ne fut que meilleur la jute coulant de sa petite queue de petit branleur comme je me plu à l’appeler . En effet il se ventait de se branler trois à quatre fois par jour, nous aimions donc partager cette passion commune. Il adorait par dessus tout me parler de sa petite verge, il en était très fier, c’était plutôt touchant. En tout cas il m’offrit là une sympathique capture bien baveuse.

Entre 14h00 et 20h30 j’enchaînais cinq rendez vous, j’avais même fait du rab !Quelle élève consciencieuse je fis ! Il se connecta, se délectant de me surprendre en tenue d’Ève, je venais de terminer :

« bon alors combien en as-tu fait cracher depuis hier? Vingt? Trente?

Il aimait me sortir des chiffre improbables, je ne sais pas si c’était pour être sur de m’entendre avouer la vérité ou pour m’encourager à en faire encore plus. Je lui dis que non, j’en avais enchaîné neuf en à peine plus de vingt quatre heures, c’était déjà digne d’une belle salope. J’obtins donc en première note un 7/10.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 22:15

IV

L’INAUGURATION

 

Il m’envoya de nouvelles photos dans l’après midi, m’expliquant au passage qu’il avait discuté avec Anna qu’il semblait que je lui avais beaucoup plu. Nous parlions quelques temps de nos impressions et notre excitation. Il me questionna sur la date de livraison de mes nouveaux amis comme il les appelait alors. Cela était prévu pour le lendemain ou le lundi qui suivait. Il me proposa de les inaugurer ensemble, cela me sembla être une excellente idée. Mais ce ne fut pas au prix d’un petit supplice, entre le moment où ils me seraient livrés et celui de l’inauguration je n’avais le droit que de les ouvrir, les observer et éventuellement les enfoncer dans ma bouche mais interdiction formel de m’en servir pour titiller ma rondelle ou limer ma petite chatte.

Je les reçu le samedi matin, j’étais presque déçue par la discrétion de l’emballage, en effet cela m’aurais certainement enchantée  de sentir l’amusement gêné du facteur. Je savais qu’il allait me falloir attendre jusqu’au lendemain soir au minimum avant de pouvoir leur faire honneur ,ayant ce jour là un dîner qui finirait certainement à une heure tardive.

C’est les sachant près de moi soigneusement rangés ,prêt à me servir, que je passai cette nuit. Le dimanche paressa bien évidemment s’éternisant en une  interminable attente. J’étais assez impatiente. Quand la soirée débuta je me mis à me préparer. J’avais décidé de passer une jupe en cuir noir, pas courte mais scandaleusement moulante. Un soutient gorge noir et ma veste en cuir par dessus, des bas résilles et mes bottes. J’avais pris soin de passer mon collier. Je m’étais maquillée en conséquence, les lèvres rouges les yeux très noirs, femme fatale en quelque sorte. La fatalité étant malgré tout le fait que j’allais bientôt pouvoir satisfaire mon envie de m’enfoncer dans tous les trous ces morceaux de latex et résines diverses :

« Hello petite pute.

-Bonsoir. »

Il m’intima de brancher ma cam, puis s’inquiéta de savoir comment j’allais, faisant gentiment trainer les choses, me faisant régulièrement remarquer que le temps devait me sembler bien long :

« Quand tu auras fini ta cigarette tu m’appelleras et tu te présentera comme ceci… »

Le temps que je termine ma clope il partagea quelques photos donc une d’une asiatique portant une collerette un peu comme celles que l’on met au chiens pour ne pas qu’ils ne se grattent, dans laquelle une bande de mecs était en train d’uriner. Je fus assez troublée par cette image, je lui en fis part, mais c’était encore incertain dans mon esprit :

« Appelle moi !

-Allo

-C’est votre soumise qui vous appelle pour vous vider les couilles.

-Oh, c’est gentil ça ! »

J’avais déjà tout préparé comme il me l’avait demandé, les toys mais également  des épingles à linge, du gel et des préservatifs. J’allais apprendre une nouvelle leçon d’ailleurs lors de cette inauguration. Je lui montrais donc le gode et il constata qu’il avait une taille tout de même conséquente, et apprécia l’esthétique du réalisme de ce dernier. C’était presque digne de Ron Mueck ! Puis je lui montrait le plug , je n’avait pas fait bien attention en le commandant mais je ne pourrais le coincer il ne se rétrécissait pas à la base . Tant pis je finirais par en avoir un autre. Je posa la capote sur le plug, puis y étala du lubrifiant. Et je préparai mon petit trou. J’y glissais un doigt, puis deux écartant et détendant doucement le muscle. J’étais assise les genoux sur ma chaise, cul tourné vers la cam. Je m’armai de l’engin et entrepris alors de l’y coller au fond. Doucement, strie par strie il pénétrait la chaleur de mon cul, et sans trop de peine vint trouver sa place :

« Assise ! »

Nous reparlions alors de cette fameuse photo, celle de la collerette, il était curieux de connaître mes impressions mais j’avais encore du mal à mettre des mots sur mes sentiments, il me fit comprendre que rien ne pressait que je lui en parlerais quand j’en aurais envie. Ce genre de petit détail augmentait la confiance qui se liait entre nous, il savait toujours m’amener en douceur  à passer mes limites, dénicher ces petites idées qui trottaient dans ma tête sans que je n’en prenne forcément conscience. Sonna l’heure de s’employer à contenter ma petite chatte. Ce ne serais pas sans une petite leçon de chose. J’apprenais alors à foutre une capote avec la bouche. Ce n’était pas quelque chose dont j’avais l’habitude, il me fallu quelques secondes avant de trouver la bonne méthode . Je  compris alors qu’il fallait pousser l’enroulement de la capote avec les dents, tout en pensant que le jour où il s’agirait d’une vraie queue il ne faudrait pas que mes dents ne viennent la blesser. Je pris alors garde d’y aller en délicatesse même s’il s’agissait de latex, histoire de ne pas prendre de mauvaise habitude. Afin de pouvoir descendre le préservatif au maximum je finis la dépose au moyen de mes lèvres que je contractai de façon à  les rendre le plus rigide possible. L’essai, pour une première sur une verge de ce calibre, était relativement satisfaisant bien que je dû finir de le dérouler à la main. Après avoir mis ma chatte en condition, j’enfournai ce gode lentement, sans me brusquer, puis j’appuyai le mouvement laissant échapper quelques murmures :

« Aller gode-toi bien ! Fais toi jouir, depuis le temps que tu attendais ça ! »

Tantôt je le prenais à pleine main en mouvement très rapide, tantôt posé sur le plat de la chaise, embrochée ,jouant du bassin, montant et descendant. Je jouis. Je restai un moment assise sur mes engins, qui se frottaient à travers la paroi à chacun de mes mouvements.  Je retirai le gode, puis le plug, tout doucement comme il me l’ordonna.

« Hum tu es bien ouverte là, tu va bien mettre du gel sur ton gode et tu vas t’asseoir dessus. »

Je m’exécutai à la seconde, et entrepris de me bourrer le cul. Il s’introduit avec une telle aisance que je n’en revint pas. Petit à petit j’en enfonçai un peu plus, rapprochant mes fesses de ses couilles factices. Je soufflai à la manière d’un sportif afin de me détendre un maximum. J’étais ainsi assise vingt  centimètre de latex rentrés dans le cul, il était très content. Puis je le branlais un peu. Mon trou lui était alors complètement offert quand je retirai l’instrument. Il fini de se branler jouissant sur l’idée de m’enculer, de foutre au chaud sa queue sans l’entrave du latex.

Nous terminions cette soirée en discutant un peu. Nous nous quittâmes maudissant tous deux les scientifiques de n’avoir pas mis la téléportation  à notre disposition.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 13:07

 

III

ANNA

Peu de temps après mon téléphone sonna. C’était un numéro inconnu de mon répertoire je me doutai bien qu’il s’agissait d’Anna. Je déglutis avant de décrocher, un peu anxieuse :

« Allo ?

-Allo, oui , Déborah ? Euh…c’est Anna…

-Bonjour. »

Je fus plutôt intimidée, elle sembla l’être aussi néanmoins elle s’activa tout de même en questions auxquelles il me fut parfois difficile de répondre. En autre ce qui m’attirait dans les relations Domination/soumission, je ne pus être très explicite, tout ceci était encore assez confus dans mon esprit. Nous échangeâmes quelques  compliments, parlâmes de nos disponibilités communes. Puis assez vite raccrochâmes.

J’aurais aimée être plus expressive, mais je n’y étais pas parvenue, j’avais un peu peur de lui avoir paru froide. Je m’apprêtais à écrire un mail que je lui aurais transmis via notre cher Maître quand justement il se connecta. Il voulait savoir ,bien évidemment ,si nous nous étions parlée toutes les deux, m’interrogeant à propos de notre discussion. Je lui confiai alors que j’avais été assez peu loquasse comme à mon habitude lors d’un premier contacte. Je lui fit part de mon intention d’écrire un mail, étant plus à l’aise avec ce type de communication. Il me donna son adresse. Puis avant de décrocher il s’assura que j’avais bien respecté la règle, bien évidemment je m’étais exécutée comme toujours. Je m’attelai alors à écrire ce courrier de présentation à ma nouvelle amie. Je ne pu me résoudre à ne taper que quelques lignes, non je lui fit une description assez longue et sincère de qui j’étais, m’excusant d’ailleurs d’être à l’écrit quelque peu envahissante. J’étais vraiment ravie et malgré la brièveté de ce premier contacte il me semblait que le courant était passé.

Au petit matin je reçus une réponse que je lus toute excitée. Elle s’excusa(sans aucune raison à mon goût .) de s’être précipitée à appeler à réception du message de notre Maître. Moi je trouvai ça charmant, impatiente et excitée, je fus dès lors enchantée de cette rencontre. Elle avait aimé mon mail, elle avait aimé ma personnalité. Elle se présenta à son tour, m’expliquant comment déjà très jeune elle s’amusait à s’attachée nue à une chaise, puis se sentait idiote d’avoir fait ça, comment se désir se précisa à l’adolescence lorsqu’elle avait regardé « Neuf Semaines et Demi » bien que sa mère choquée par le film ne lui dise que ces gens n’étaient pas normaux. Entre temps elle s’était mariée avait eu des enfants et devait faire face à de sérieux soucis de santé. Elle voulait profiter de ce que la vie pouvais lui apporter de bon, et assouvir ses envies. Elle m’indiqua un lien permettant de lire le récit de sa deuxième séance avec notre Maître. Je m’y précipitai, et me délectai  de ses mots. C’était écrit avec beaucoup d’humour et elle me fit immanquablement rigoler. Il y avait beaucoup de points communs entre nos deux expériences, cela était assez intéressant de voir de quelle manière elle avait appréhendé les choses. Je compris dès lors que nous n’abordions pas la soumission de la même manière, je n’en connaissais pas les raisons profondes mais je pouvais le constater.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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  • : Divers
  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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