Toute entière

Mardi 8 mai 2 08 /05 /Mai 00:57

 

III

PROMENADE AU PARC

 

Au petit matin, alors que nous avions dormir l'un contre l'autre nous  commencions  à nous caresser, c'était très doux, très sensuel. Après être resté regarder ma chatte quelques secondes  me complimentant à son sujet il se mit à la lécher ,la sucer, me doigter au passage. Il le fais divinement bien et cela me valut plusieurs orgasmes. Puis une fois rassasié il me  dit:

 "je vais te servir le petit déjeuner au lit se sera à moi de te servir pour une fois!"

En effet je fût royalement servi : jus d'orange pressé pain d'épice céréales etc. Nous avons ainsi déjeuné au lit, c'était un moment exquis, emprunt d'intimité. Mais il n'était pas question qu'il me laisse tranquille!

Une fois le petit déjeuner fini, douche prise, il me regarda et me dis "tu sais ce qui t'attend aujourd'hui?
-oui, je vais devoir me mettre le plug moi même et nous allons nous promener au parc.
-exacte! On va commencer, aller à l'étage!"
Je m'exécutais sur le champs.
« A quatre pattes sur le lit !Il me tendis le plug et le gel.

-Aller prépare toi, je me préparai alors, à mon grand étonnement le plug rentra aisément.

- Habille toi maintenant, tu devrais mettre une culotte ou il va tomber, ce pourrait être gênant n'est ce pas? »

Je passais alors une mini jupe en jean ,un débardeur blanc mes porte-jarretelles des bas résilles et mes si jolie bottes... Nous avons passé un bon moment au parc, nous parlions de choses et d'autres, nous promenant main dans la main.. Il y avait de prime abord quelque chose d’assez insolite dans le couple que nous formions. Un homme d’âge mure, vêtu de manière chic et un jeune femme habillée et maquillée  comme une pute. Je m’amusais beaucoup de cette situation. En plus ce petit secret invisible aux autres me gardait à ma place : j’étais sa soumise et quand l’idée m’échappait trop longtemps il me le rappelait que se soit en poussant le plug un peu plus profond, ou en me demandant si je sentais bien ce que j’avais d’enfoncé dans le cul . Dans ces moments là il arborait toujours son sourire si vicieux que j’aime tant. Ce mélange de douceur et de lubricité était à l’image de ce dimanche,  le ciel se parait d’un magnifique soleil mais le vent qui se glissait sous ma jupe était terriblement glacé. Journée emprunte de nuances et de contradictions, entre le raffinement et la perversité, un peu comme moi cette jeune femme aux airs naïfs et pourtant tellement chienne . Je me demandais tout de même ce qui m’attendait cet après-midi là. Quand nous sommes rentré je pensais enfin être soulagée de ce « poids » ,mais c’était sans compter sur la perversité de mon très cher Maître. Il avait déjà une autre idée en tête.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 22:08

II

HORS JEU

 


Après m'être lavé la figure et les parties intimes je m’habillai.
Il me proposa d’aller au Palais de Tokyo voir ce qu’il y avait comme exposition, cela m’enchantai évidemment, nous allions pouvoir enfin partager une autre de nos passion commune l’art plastique. Comme dans la foulée nous allions dîner au restaurant je décida de ne pas remettre de rouge à mes lèvres, j’optais pour un maquillage plus « tout terrain ». Dans le métro il  demanda si j'avais remis une culotte, ce que j'avais fait .Il me fis part de sa petite déception :

« Dommage j'aurais du te dire de ne pas en mettre. »

Nous arrivions sur les lieux, et par chance il avait besoin d’aller au toilettes . Je lui répondis que moi aussi, mais je n’avait pas vraiment envie de faire pipi, j’avais surtout envie de rattraper une petite erreur, je voulais lui faire plaisir, j’enlevai alors mon string que je pliais et rangeait dans mon sac.. Je perdis  quelques minutes, j'avais du mal à refixer mon porte-jarretelles. Il m’attendait assis dans un fauteuil orange, il se leva et me rejoint :

"excusez moi j'ai mis du temps mais j'ai eu un problème…euh… d'ordre technique.
-ah oui? s'étonna-t-il
-oui j'ai voulu vous faire plaisir et j'ai retiré mon string mais j'ai eu quelques difficulté à remettre mes porte-jarretelles."
Il était ravi! Cette pensée pouvait                ainsi l’accompagner  durant notre visite. Nous sommes resté un moment à feuilleter des livres d’arts dans la librairie du Palais, partageant nos impressions sur tel ou tel artiste. C’était un moment vraiment privilégié, je ne sais pas, nous étions absolument complices, j’apprenais à le connaître d’une autre manière. Il ne restait du jeu que le vouvoiement et mon absence de petite culotte !  Il m’invitait ensuite dîner dans un restaurant près de chez lui. Un nouveau trajet de métro nous attendait. Moi à force de rester debout avec mes talons hauts j’avais les pieds qui commençaient à fumer. Nous nous amusions de la situation, il me dit qu’à ma prochaine visite il m’ordonnerait d’apporter des baskets. Mais l’idée de ma petite chatte en plein courant d’air n’avait pas quitter son esprit pour autant et il partagea son envie de le constater par lui même.  Mais difficile de trouver un coin tranquille, il aurait bien soulevé ma jupe.   Nous fûmes alors dans un petit escalator relativement isolées, il  glissa sa main sous ma jupe caressant généreusement ma fente. Vous n’imaginez pas l’intensité de cette sensation qui traversa mon corps de part et d’autre ,il aurait pu à ce moment précis m’emmener dans un coin tranquille et me baiser sur le champs !Il se colla à moi ,me faisant sentir l'effet que cela lui faisait...il me semble que cela lui alla droit au fond du slip, comme il aime à le dire. Il était loin d'en avoir fini avec moi.

Nous sommes aller dîner au restaurant, avec le porto que je pris en apéritif puis les deux verres de vins rouges je ne me sentais pas vraiment saoule mais un peu grisée, j’étais plus à l’aise. C’est je pense la première fois que je fut totalement naturelle avec lui. Je ne sais plus très bien ce que j’ai pu débiter comme âneries ,mais je crois que de toute manière il s’en amusa.   Une fois le repas terminé nous allâmes  dans un petit troquet sympas à Mesnil Montant. C’était un bar très rock n roll ,doté d’ailleurs d’un karaoké rock n roll, ainsi que d’une clientèle rock n roll. Une fois nos verres finis nous primes un taxi qui nous déposa devant chez lui.  Il commença déjà, à peine franchie l’énorme porte en bois de la cour, à passer  sa main sous ma jupe, j’avais l’impression que j’allais fondre sous la chaleur de cette caresse.
Lorsque nous eûmes réintégré son appartement je du me mettre au boulot :
"Enlève ta chemise et ta jupe!"

Il mis le tabouret de bar devant lui, enlevant la table basse, il le colla à son fauteuil et posa le gode dessus : 

«  Prépare le ! Je lui mis une capote .Met du gel et branle le, montre moi comment tu t’y prends.  Aller dépêche connasse ! Je m'appliquais donc à bien enduire ce gode. Sur ta chatte maintenant!"

Je me retrouvais assez vite très excitée, assise sur le tabouret, m'enfonçant le gode. Je le posai à plat m'empalant dessus, montant descendant, tantôt en profondeur, tantôt de manière très rapide , tournant mon bassin, accélérant le mouvement, il n'en perdais pas une miette! Il prit pris quelques  photos, puis se masturba. Ne se privant pas de me dire à quel point j'étais bandante. Je prenais un pied fou, le voir apprécier le spectacle multipliait mon plaisir. Je continuais ainsi jusqu’à ce qu’orgasme s’en suive, j’étais encore haletante et transpirante quand il me regarda le sourire au bord des lèvres :

"tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant? Je hochais la tête, aller au boulot!"

 Je le suçais avec application et dévouement , c’est un véritable plaisir pour moi de sentir une queue enfler et durcir de plus en plus dans la chaleur de ma bouche :

« Quelle bonne pipeuse tu es ! »

Il ne lui fallut pas très longtemps avant d'inonder ma bouche de son sperme bien chaud.  Quel bonheur au moment ou la première giclée assez puissante vient envahir de son goût si particulier les papilles gustatives.

"Hum t'as tout avalé on dirait!"

Nous nous couchâmes , il était déjà tard et nous avions encore un programme chargé qui nous attendait . Il m'embrassa tendrement et éteignit  la lumière. Moi pourtant grande insomniaque je m'écroulais plongeant vite dans un profond sommeil.

 

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Vendredi 4 mai 5 04 /05 /Mai 19:53
CHAPITRE II

A gentleman will walk but never run

 
I
LE VIF DU SUJET
 

Je n'en menais pas large. Il m'avait donc donner de menues instructions, dont le string porté depuis trois jours  transporté dans mon sac. Pas de petite culotte, d’habitude il impose à ces soumises une tenue mais trouvant que j'ai très bon goût il m’avait laissé choisir. Troisième et dernière instruction chatte parfaitement lisse, et il ne devait pas resté un poil j'allais être minutieusement inspectée... J'avais mis ma chemise blanche assez translucide et la cravate, un soutien-gorge noir très classe avec une légère dentelle blanche et des bretelles en pane de velours pourpres .Ma petite jupe grise et blanche d'étudiante, les portes jarretelles noirs ainsi que les bas noirs. Et mes bottes en cuir à talon aiguille. J’avais pour habitude quand je me maquillais de mettre mes yeux en valeur, mais je compris qu’avec lui il s’agissait plutôt de mettre ma bouche en avant. Cette bouche pulpeuse toute prête à accueillir sa bite. J’avais donc les yeux "charbonneux" c'est à dire très noir autour des yeux et qui se dégrade en gris jusqu'au blanc pailleté sur les paupières. Puis mes lèvres, rouge coquelicot, les offrant ainsi comme une fleur. J’étais habillée en noir et blanc, on ne voyait que ça : rouges et très brillantes!

Il m’invita tout d'abord à déposer mes affaires, s'inquiétant de savoir si j'avais fait bon voyage, me proposant quelque chose à boire.
Puis nous commençâmes . En premier lieu il me demanda de me donner le string. Je me dirigeai alors vers l’entrée la où était accroché mon sac. Il me suivit. Je farfouillai dans mon sac, je mis quelques secondes à le trouver, il fut patient. Pendant ces quelques interminables secondes j’eu le temps de me dire « et si je l’avais pommé ? Non reprends toi Deby ! ce n’est pas possible ! »Ouf il était là, au fond de mon sac, bien plié. Je lui tendis. Il me dit alors de l’ouvrir, là ou s’était logée ma mouille et lui tendre. Je m’exécutai, il se pencha alors sur l’entre jambe et la renifla pleinement. Puis il le récupéra le repliant. Il inclina légèrement la tête, remerciement à l’oriental :

« tu as une odeur très discrète. »

Il me pria d’ôter mes vêtements, enfin ma chemise mon soutient gorge et ma jupe. Je me tenais ainsi devant cet homme que j’avais vu pour la première fois à peine dix minutes auparavant, quasiment nue. C’était extrêmement stimulant. Et bien que je me sentais très impressionnée, les yeux baissés, les mains derrière le dos, comme la petite fille qui rentre dans le bureau du directeur, je me régalais de la situation.Il m'invita à m’asseoir enlevant la table basse en résine blanche,  me désignant un minuscule tabouret. Il m’ordonna d'écarter les jambes et m'exposa à quelle sauce j'allais être mangée... s'assurant que le programme était à mon goût. Il attrapa un collier en cuir et me fit signe de me lever. Au moment ou il glissa le collier sur ma nuque, à ce moment où sa main vint frôler ma peau un grand frisson me parcouru, mes yeux se fermèrent un peu, comme une chatte qu’on est en train de caresser. Il accrocha sa laisse à ce joli collier. Je devais maintenant m'allonger sur le dos sur une sorte de pouf(un gros coussin sur des pieds),jambes relevées, chevilles tenues afin d'inspecter la rigueur de mon épilation et ce à la lampe de poche s’il vous plait ! Il s'attendait à trouver quelques poils mais c'était sans compter sur le professionnalisme de mon esthéticienne et ma propre vigilance. Il fut satisfait. J’avais la tête penchée en arrière, la laisse passant sous le fauteuil, il gardait un pied dessus .J’avais une vision très limité de ce qui se passait autour de moi, je pouvais juste voir du coin de l’œil et ce vaguement par dessus mes lunettes ce qu’il sortit de son tiroir. C’était un outil aux allures gynécologiques, il avait l’intention de m’observer , comment dire…de plus près . Je ne voyait pas ce qu’il se passait, j’entendais juste de petits cliquetis , cela dura un bon moment ou le silence suspendait les secondes pour les répandre en minutes.

« Debout ! »

Je ne pu me redresser, son pied coinçait toujours la laisse, ma tête fut ramenée à son point de départ. Ce genre de détails me ravissait, à cette instant on ne pouvait pas la louper la petite chienne qui était en moi. Il lâcha la laisse, je m’exécutai.
Il me demanda d’enlever le reste, c’est à dire les bottes, les porte-jarretelles et les bas. Il me banda les yeux ,me bâillonna ,m’attacha les mains dans le dos et m’ harnacha, suspendue à sa mezzanine. Il profita longuement du spectacle .Pour moi c'était très grisant, complètement désorienté et complètement à sa merci...  Toute une kyrielle de questions eut le temps de me traverser l’esprit, mais ce dont je me souviens surtout c’est cette sensation étrange, un peu comme le moment qui précède l’inconscience lorsque l’on s’endort, cette impression d’être happée par le néant. Une fois qu’il fut repu de cette vision il me déharnacha, enleva le bandeau. Il passa ensuite deux bracelets en cuir à mes chevilles afin de me les attacher l'une à l'autre et me promena ainsi, tenue en laisse dans son appartement. Ce n’était pas aisé pour moi d’avancée ainsi entravée. J’évoluais à petits pas, suivant en bonne chienne obéissante les pas de mon très cher Maître.


Il attacha ensuite mes poignets en hauteur, cordes et mousquetons tenus aux barreaux de sa mezzanine. Il libéra mes jambes afin que j’en pose une sur le tabouret de bar qu’il venait d’approcher. Je devais me tenir bien cambrée lui tendant mon petit cul de salope, mais mes mains étaient trop hautes, j’avais beau tenter de me cambrer je ne pouvais pas :

« Cambre toi plus ! Mais peut-être ne peux-tu pas ? je vais descendre un peu tes poignets. »

Il décrocha mes bras, fit coulisser un peu le nœud afin que je me retrouve à bonne hauteur . Je pouvais alors me cambrer un maximum, comme il le désirait. J’entendis claquer derrière moi le gant de latex sur sa main . C’étais l’heure de me faire remplir au plug. Cela faisait des années que je ne m’étais rien pris dans le cul à l’exception d’une fibre optique à l’occasion d’une coloscopie, j’étais sous anesthésie général je n’en ai pas gardé un souvenir ému ! J’angoissais un peu. Mais il pris tout son temps  pour ne pas me brusquer, à ma grande surprise je trouvai ça plutôt agréable, voir même très agréable. 
Quand cela fût fait il me faillais passer à l'action, il s’était peut être rincer l’œil mais il ne s’était pas vider les couilles. Néanmoins il tenait à parfaire mon éducation, il me diffusa une petite vidéo: comment une bonne soumise se doit de sucer son Maître. La leçon terminée il me dit :

 « au boulot!!! »

Me voilà donc agenouillée, les mains à nouveau attachées dans le dos  ,bâillon ôté évidement, lui était assis dans son fauteuil. Je me suis appliquée à le sucer comme je sais si bien le faire n'oubliant pas évidemment d'ajouter à ma "technique" les détails noter dans la vidéo comme bien enduire la queue de salive. Mon dévouement l'a manifestement touché car j'ai une droit à une bonne séance d'articulation, répétant tant bien que mal, la bouche pleine , les phrases salaces qu'il me dictait. Attention il fallait que ce soit un minimum compréhensible sinon j'avais le droit de répéter jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Il m'enfonçait aussi régulièrement la queue jusqu'aux couilles, maintenant ma tête contre son bas ventre, tandis que moi je m'efforçais de tirer la langue au plus loin afin de venir les lui lécher le plus généreusement possible(ma capacité buccale m'étonne d'ailleurs quelque peu des fois, comme quoi ça sert à quelque chose d'avoir une grande gueule!!!).

Sa pine bien gonflée enfoncée dans ma bouche prête à exploser, il se retira , disant "stop" repoussant ma tête, il n'en avait pas fini avec moi...il me détacha les poignets me laissant tout de même les bracelets :

"A quatre pattes pétasse!",je m'exécutai .

Il me retira doucement le plug, le manipulant avec habileté,  ce qui m'arracha quelques gémissements. J’avais été une parfaite soumise, pourtant il allait me fesser, pour son propre plaisir. Il m'installa sur le ventre ,sur ses genoux. Puis vint me frapper l’arrière train. Cela faisait des années que ce ne m’était pas pris une telle raclée ! Quand j’y pense la seule fessée que j’ai jamais reçu de ce niveau là c’était en primaire, mon Maître d’école, un homme sévère mais juste, m’avait surprise en flagrant délit de triche durant une dictée, j’avais eu droit à une bonne punition et une bonne fessée pantalon sur les genoux, et comble de l’humiliation devant toute la classe. Une fois les fesses bien rouges  et échauffées il me somma de me mettre à quatre patte afin de m'enculer. Mais cela ne dura pas très longtemps. Je ne compris pas vraiment pourquoi, peut-être était-ce la vue de ma petite chatte parfaitement lisse et trempée qui était trop tentante, probablement était-ce complètement autre chose :

 « debout!, puis récupérant le bout de la laisse

 –hum, je vais te baiser cette chatte de salope. »

Il me fit monter les escaliers. M’installa à quatre pattes dans le lit et me réintroduit le plug qui cette fois ci rentra très facilement, j’en fut totalement surprise. Il m ’allongea sur le dos jambes relevées et écartée et se mit en effet à me baiser. Les choses lui échappèrent un instant , un instant ou il n’était plus question d’humiliation, de domination, un instant emprunt de tendresses, de douces caresses, juste un court instant qui me sembla se figer dans le temps. Mais cela ne dura pas! Il repris ses esprits me confiant que tout ceci n’était pas prévu. Il s' assit sur un fauteuil installé à l'étage, moi à ses pieds :

"Lèche moi les pieds!"(je tiens à préciser que c'est un homme à l'hygiène impeccable car je ne suis pas fétichiste du pied et m'y serait refusée s'il en avait été autrement !)Je m’exécutai, bizarrement je ne suis pas sûre d’avoir été bien performante, autant j’ai une grande expérience de la pipe autant lécher les pieds était assez nouveau. Il entrepris alors de m'attachée aux barreaux de la balustrade, assise jambes écartées. Il   sortit un gros gode de son emballage. Il était très réaliste ,avec de grosse nervures, un gros gland et une bonne paire de couilles. Il me l’approcha du visage, souriant me disant :

« C’est quand même beaucoup mieux qu’une courgette n’est ce pas ?

-Oui, souriais-je. »

Après l’avoir habillé, et couvert de gel , il me l'enfonça au fond de la chatte ,au maximum. Il me présenta sa queue bien raide afin que je le suce, ne se privant pas de me faire remarquer:

"t'es bien remplis là hein?" je lui répondis 
-oui
-comment j'ai pas bien compris ? je répétai

-oui je suis bien remplie" du mieux que je pu ,sa bite gonflée qui se branlait dans ma bouche .

Le gode était assez large, et se frottait au plug. J’étais en effet tellement comblée que cela commençait à me gêner. Cela étant largement supportable je ne voulus pas le déranger tout de suite. J' attendis que la sensation fût vraiment très désagréable avant de lui demander s’il pouvait le retirer un peu :

" Bien sur mais on demande s'il vous plait!»

Je réitérai ma question n’oubliant pas cette fois de demander s’il vous plait. Il retira complètement le gode, je fus soulagée. Il se remit à se masturber ,claquant sa bite sur mes lèvres. Au bout d’un moment il me dit : 

«  je suis assez long à venir en général ,mais pas autant, tant pis nous reprendrons plus tard. »
Je me demande encore si ce n'était pas là une autre forme de supplice. En effet ayant eu une sexualité hyper conventionnelle durant quelques années il savait à quel point cela me manquait de ne pas me prendre une bonne giclée en plein visage. J’apprécie beaucoup ces petites questions en suspend, je suis de nature plutôt perspicace et cela me plait qu’il reste un doute aussi fuguasse soit-il quant à ses intentions. Il me détacha, enleva les bracelets, frottant mes mains pour faire circuler le sang ,il n'avait pas serrer fort, mais il se montrait particulièrement prévenant .

 
 
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Jeudi 3 mai 4 03 /05 /Mai 22:15

Lui


LUI

Il y eu quelques bruit de pas avant que la porte ne s’ouvre. Me voilà alors face à cette homme, cette homme très séduisant d’ailleurs. Il n’était pas très grand, mais bien proportionné. Et au delà de ses considérations purement physiques il avait un truc. J’étais déjà charmer par sa personnalité, et même par sa photo, mais de l’avoir en chair et en os devant moi c’était quelque chose. J’étais tout de même très intimidée par cet homme. Je baissais les yeux, hésitante. J’avais vraiment le sentiment d’être une petite fille devant un adulte représentant l’autorité tel un professeur ou plutôt un Maître.  Il me confia plus tard qu’à l’instant ou il me vit il eu l’impression d’avoir une très jeune fille en face de lui, se demandant même si j’avais au moins dix huit ans !Il connaissait mon âge pourtant ,c’était un peu comme si  cette sensation dépeignait sur mon apparence. C’était un moment très intense ,il ne dura certainement que quelques seconde néanmoins il me parut durer des heures. L’un en face de l’autre à se contempler, moi je jetais des coup d’œil rapide en direction de son visage mais étais bien incapable de soutenir son regard.

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Mercredi 2 mai 3 02 /05 /Mai 07:07
 
IV
LE TRAIN
 
 

Je montai dans le train. Seule côté fenêtre. Puis au bout de quelques gares un jeune homme vint s’asseoir à côté de moi. Il pu au fil du trajet assister à la petite transformation. J’avais décider d’attendre un peu avant de passer ma tenue et de me maquiller ayant quatre heure et demi de train. A l’instant ou il ne me restait plus que une heure et demi de train je décidai d’aller me changer. J’extirpai donc mon barda de ma valise, le glissant dans mon bagage à main(un petit cabas rouge). Je devais me contenter des toilettes comme toute cabine d’essayage. Dans l’exigüité de ce local cela n’avait rien d’évident. Les branlements du train n’arrangeaient rien. Je tentais de tenir l’équilibre, un pied déchaussé, de façon à enlever mon jean. Je passais l’un après l’autre mes bas tentant de les accrocher à mes porte-jarretelles. Déjà dans la stabilité ce n’est pas toujours évident de fixer la jarretière derrière, je vous laisse imaginer ce que cela peut être dans un train. Le plus dure étant fait le reste ne fut qu’une formalité . Je décidais d’attendre la dernière minute avant de me maquiller. J’étais complètement excitée et anxieuse à la fois. Une question me trottais dans la tête, allais-je vraiment apprécier la soumission ? Pas sur, l’écart entre le fantasme et la réalité n’allait-il pas être trop grand pour moi ? N’allais-je pas être submergée par mes émotions ? Plus je me rapprochais du moment fatidique ou il ouvrirait sa porte plus les questions virevoltaient dans ma tête. La principale interrogation était :  « Ne suis-je pas totalement inconsciente ? » Je l’étais certainement un peu, mais le recul me ferait dire que la vraie inconscience aurait été de laisser mes doutes m ‘étouffer et de ne rien vivre d’autre que ma propre frustration. Mon instinct me poussait irrépressiblement vers cet homme, vers cette aventure. J’attaquai le maquillage. Je devais faire très attention chaque à-coup du train risquant de me faire foirer. J’étais fin prête quand le train entra en gare de Montparnasse-Bienvenüe.

J’allais acheter tout d’abord des cigarettes, le buraliste me faisant d’ailleurs un agréable accueil. Cela me rassura un peu car j’avais semble-t-il laissé mon voisin de train complètement insensible, en effet il avait dormi tout le trajet . Chacun de mes pas me rapprochait un peu plus, chacune des stations de métro , chacune des secondes qui s’écoulaient. Je nageais entre deux eaux, entre l’excitation et l’angoisse. J’étais tout de même bien plus excitée qu’angoissée ! Puis une nouvelle émotion vint se faire ressentir, quelque chose d’un peu similaire au trac. Je changeais de ligne. La pression montait encore d’un cran. Il me restait cinq station. Mon cœur s’accélérait à chaque nouvel arrêt. Quatre…trois…deux…une…j’étais arrivée. Je devais l’appeler. Mais j’attendis un peu, je posai ma valise à terre et j’allumais une cigarette. Je savais qu’il était non fumeur et de toute façon qu’il me serait difficile d’en griller une les main attachées dans le dos ! Puis c’était un bon prétexte pour retarder un peu l’inévitable. Un cycliste me complimenta au passage, il trouvait que j’avais de très jolie gambettes, manquant de peu de se manger le rebord du trottoir. Je rougis un peu et le remercia avec le sourire. Je pris mon téléphone portable et composa son numéro . Je le prévenais que j’étais à la station de métro. Je remontai la rue qui menait jusque chez lui, je marchais très vite, pressée. Pourtant lorsque je franchis cette énorme porte en bois et que je me retrouvais dans la cour de son immeuble, je posai ma valise. Je tenais à vérifier que mon maquillage était toujours parfait, je rajoutai un coup de gloss et reprenais mon chemin. Je passai la porte et atteignis le premier étage. Je marquai une pose. Cette fois je n’avais aucun prétexte ,mais je restais une petite minute, faisant le vide. Puis j’achevai mon parcours. Je sonnai.

 
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Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 12:13
III
LA BONNE NOUVELLE

Le surlendemain j’appris que je pourrais prendre le train et venir le voir à Paris le weekend qui arrivait .Je m’empressais de lui envoyer un mail !J’allais enfin le rencontrer ! J’étais excitée comme une puce ! je décidais alors d’aller faire les soldes me faisant véritablement plaisir . Je pris un rendez vous chez l’esthéticienne, chez la coiffeuse . Je voulais être parfaite, je voulais qu’à la seconde où il me voit il soit aussi séduit que lorsqu’il avait vu les photos. Je me souvenais de ce qu’il m’avait dit un soir durant une discussion sur msn :

« Ce que j’aime tout particulièrement chez toi c’est ton apparente naïveté, je suis sur que tu dois l’être d’ailleurs, et de savoir tout ce que tu es capable de faire par appétit sexuel ! J’ai l’impression d’avoir devant moi une lycéenne studieuse et que tu pourrais la seconde d’après te retrouver à pomper et faire gicler une quinzaine de mecs. C’est terriblement stimulant !

-Oui.

-Tu ne t’en tirera pas aussi facilement ! N’ai je pas raison quand je dis que tu saurais t’occuper d’une telle assemblé de mecs en rut ?

-Oui vous avez entièrement raison en affirmant que je saurais m’occuper d’une telle assemblée de mecs en rut.

-Qu’elle jolie salope tu fais ! »

C’est donc avec cette idée en tête que j’achetai une petite chemise blanche fournis avec la cravate et je dégotais une petite jupe plissée noire et blanche très courte. Avec ça j’allais ressembler à une véritable petite lycéenne. J’avais aussi repéré une magnifique paires de bottes en cuir noir à talon aiguilles. Elles étaient sublimes, je ne résistais pas je les embarquai également.

Arrivée chez moi je ne pu m’empêcher d’essayer tout ceci, je pris même plusieurs photos que je postai sur le fameux forum, le striptease de la petite étudiante dévergondée en quelque sorte.

Il me contacta dans la soirée, je n’étais pas disponible à la seconde, je devais terminer mon dîner aussi succin fut-il. Je l’invitais alors à aller voir les photos que j’avais postée l’après midi même. Lorsque j’eu fini je lui fit signe :

« Ca y est j’ai terminé.

-Je suis encore sous le choc de tes photos. Content de t’avoir inspirée.

-Contente que les photos vous plaisent.
-Ta cam, je veux te voir. »

Après m’avoir complimentée, il m’interrogea sur mes achats, heureux de constater quel soin j’apportais à me préparer. Il nous fallait à présent régler quelques détails à propos de ma visite :

« Tu sais ce que tu vas mettre pour venir ?

-non pas encore, bien que j’aurais pensé à la tenue de lycéenne.

-Ce sera parfait je pense. Penses-tu que ça ira avec le fait que tu ne portes pas de petite culotte ? Avec un manteau peut-être je ne voudrais pas que tu provoque une émeute ! Quoique je serais une émeute à moi tout seul quand je te verrais !

-Ca ne devrait pas poser de problème.

-Ok, bon la petite culotte, du moins si tu en porte une, tu vas la porter jusque vendredi, tu peux en changer pour une plus simple car tu devras me la laisser.

-Je vais en changer alors. En effet le string que je portais m’avais coûter vingt-sept euros !

-Tu le fais maintenant je veux te voir la changer. J’allais chercher un vieux string bordeaux, vieux mais encore en bonne état.

-Montre le moi !Puis j’enfilais ce string, pas exactement ravie de devoir le porter jusqu’au vendredi soir(nous étions le mardi).

- Pas toujours facile d’être soumise n’est-ce pas ?

-non.
-haha…il faut souffrir pour jouir ! »

Nous discutions un peu quand il me demanda d’enlever ma cravate mon chemisier et de me caresser les seins :

« c’est très sensuel comme tu les caresses, tu es vraiment faite pour le plaisir toi ! Je ne te caches pas que je suis en train de m’astiquer la pine… »

Puis il m’invita à bien me branler comme une grosse salope, à travers le tissus de mon slip. Il m’envoyait afin de me stimuler quelques photos, dont certaines de japonaises en train de boire des quantités assez conséquentes de spermes, dans un verre ou coulant d’une sorte de plateau et bien d’autre encore.

Le lendemain j’allais chez le coiffeur et comme il m’avait fait comprendre qu’il appréciait les cheveux long je précisais qu’il ne fallait couper que le strict minimum. Je restais un bon moment dans le salon, j’eu alors tout le loisir de m’interroger à propos du weekend qui arrivait à grand pas. J’imaginais le moment où il m’ouvrirait sa porte. Allais-je être à la hauteur de ses espérances ? Et puis tout de même n’étais-je pas en train de me lancer dans une histoire de fou ? Je me répétais pour me rassurer que d’une certaine manière je ne risquais pas grand chose, ce que l’on craint le plus lorsqu’on se rend chez un inconnu c’est qu’il abuse de nous, mais en quelque sorte je me rendais chez lui afin qu’il abuse de moi…Il avait de toute façon gagné ma confiance, n’ayant à aucun moment tenté de dissimuler ses intentions. Mes doutes venaient plutôt de ce qu’aurait pu penser un proche si je lui avais expliqué que j’allais me rendre à Paris chez un homme que je ne connaissais que via internet et ce depuis une dizaine de jours dans le but de m’adonner à quelques pratiques sm. La coiffeuse fit un excellent travail j’en sortis ravie.

Le soir nous discutions un peu sur msn, cam branchée pour moi bien évidemment. Il vérifia par la même occasion que je portais bien la culotte que je devais garder jusqu’au vendredi soir. Je la portais vous vous en doutez bien. Le lendemain montra le bout de son nez, les jours passaient si vite et pourtant si lentement. Deux jours, quarante huit heure et je me tiendrais devant l’entrée de son appartement. La journée se déroula avec une certaine nonchalance, s’étirant doucement jusqu’au soir. Il m’indiqua alors une dernière instruction : interdiction formelle de me masturber à partir de 23h30 jusqu’à mon arrivée chez lui, précisant au passage que ma chatte devrait être impeccablement lisse qu’il faudrait mieux que je vérifie.

Le lendemain matin j’étais donc allongée une cuisse écartée, sur la table de l’esthéticienne. Je ne m’étais jamais faite épilée à la cire, encore moins l’intégrale mais l’idée d’exposer mon intimité à une charmante jeune femme qui me faisait subir un mini supplice n’était pas pour me déplaire. Elle fut d’ailleurs totalement surprise de constater à quel point j’étais à l’aise, même pas crispée sur la table. En rentrant chez moi je contrôlai, la pince à épilée dans une main, accroupie au dessus du miroir afin d’éliminer les quelques rebelles qui ne se seraient pas livrés au passage de la cire.

J’avais invité un ami à diner le soir histoire de ne pas me retrouver seule. Je préférais éviter de trop cogiter à ce qui m’attendais le lendemain, ayant je vous le rappelle comme consigne de ne pas me tripoter. Mon train partait tôt le lendemain matin, une fois mon invité parti je préparai mes affaires et j’allai me coucher. J’eu quelques peines à trouver le sommeil, me réveillant toutes les demi heures constatant que l’heure n’était pas encore arrivée. Je pris une douche fini de faire ma valise, enfila un jean et un pull .J’étais sur le quai de la gare, fumant une dernière clope. Mon esprit se consumait à la manière de cette cigarette ,s’envolant en volutes d’idées. Mon entre-jambe était déjà bien trempée, il allait pourtant me falloir attendre quelques heures avant d’enfin pouvoir la contenter.

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Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 18:35
II
LE RENDEZ-VOUS
 

Le surlendemain il se connecta en début d’après midi. Il me dit :

« bon Déborah , je me sens d’humeur lubrique aujourd’hui j’aurais besoin d’une pute soumise prête à me vider les couilles, seras tu disponible ce soir ? »

Je lui répondis que oui. Il me donna quelques menues instructions :j’avais le droit de m’habiller comme je le voulais mais pas de petite culotte ou de string ; je devais aussi acheter 3 ou 4 courgettes de tailles différentes ainsi que du lubrifiant ; faire une série de quatre photos une de mon visage en gros plan, une de ma chatte lèvres ouvertes, une de mon cul fesses écartées et une de moi vue du dessous ma chatte bien visible et mon visage dans le prolongement . Il conclu en écrivant :

« et ne te tripote pas la chatte petite pétasse ! »

 Le rendez vous était donc pris pour vingt heure trente vingt et une heure. Je me mis de suite au boulot fonçant dans la douche. Je m’habillai de façon assez simple mais tout de même un peu sexy. Un jean très moulant, des bottes à talons, un t-shirt dos nu, ma veste en cuir et évidemment pas de petite culotte !!! Je partis faire mes emplettes. Je m’amusai beaucoup de la situation lorsqu’a la caisse je passais avec les courgettes et le lubrifiant, avait-elle fait le rapprochement ? Je ne suis pas sûre mais rien que l’éventualité me ravissait. Je rentrai ensuite chez moi. J’allais prendre les photos quand je me rendis compte que ma minette était un peu broussailleuse. Je commençais à la raser comme je le fait à mon habitude c’est à dire un petit triangle couper court. Mais finalement me disant que cela lui ferait certainement plaisir je rasa tout. C’est donc une photo de ma chatte bien lisse que je lui envoyais. Celle de mon visage ne fût pas très compliquée à prendre. Celle de mon trou, fesses écartée ne fût pas trop complexe non plus, mais la dernière fut un vrai challenge !Je bloquai la cam entre mes pieds, cadré le mieux possible, je dus en prendre quelques unes avant d’avoir un résultat satisfaisant. Je me maquillais ensuite me coiffais etc. J’avais encore une heure et demi a attendre…je bu un verre de crème de whisky afin de me détendre un peu, en vain. Je fumai aussi quelques cigarettes, nerveusement écrasées dans le cendrier. J’appréhendais un peu, mais cette sensation était délicieuse et très stimulante. C’était un vrai supplice de ne pas pouvoir me masturber mais en soumise bien obéissante je ne le fît pas.

 

L’heure approchait, je retouchai un peu mon maquillage et m’installai devant le pc. Je pensais bien qu’il arriverait plutôt vers 21h00 mais peut-être aurait-il envie de tester ma ponctualité ?Il se connecta à 21h05.

-ma petite poufiasse est-elle prête ?
-Je vous attendais…

Après m’être faite félicitée sur l’application que j’avais mis à accomplir mes devoirs, interrogée afin de savoir si j’avais été sage et que je ne m’étais pas tripotée, il ne se priva pas de me dire au passage quand je mettais trop de temps à répondre « dépêche connasse ! », je l’appelai.

Le son de sa voix, à la fois doux et ferme me charmait. Il m’avais demandé si j’avais des épingles à linge en début d’après midi me disant que c’était bon à savoir. J’avais donc mis quelques épingles à disposition. J’avais bien fait car il m’ordonna d’en pincer une sur chaque sein ne prenant qu’un tout petit bout de tétons afin que cela fasse le plus mal possible . Puis il me demanda si j’avais lavé les courgette, j’avais complètement oublié ! Je fus très touchée par cette attention. Tout en les lavant je me répétai :il me faut vraiment un gode !!! Une fois revenue devant le pc nous pouvions commencer les choses sérieuses.

 « Montre moi ta chatte en gros plan !Ecarte bien les lèvres. J’t’ai pas dit  de te branler ! Voilà, elle me semble bien trempée ! ».

Pour commencer je devais choisir la courgette la plus petite et lui montrer jusqu’ou je pouvais l’enfoncer dans ma gorge, m’obligeant au passage à m’exercer à l’articulation, me faisant répéter des phrases assez humiliantes. Je me rappelle bien d’une phrase, qu’il m’avait faite répéter deux fois  

 « J’ai pas bien compris là, je suis sur que tu peux faire mieux !

-Je suis une bonne soumise et je m’applique à bien vider les couilles de mon Maître. » Prononçais-je du mieux que je puis.

 Ce fut la première fois que je l’appelai Maître, je ne saurais dire pourquoi mais cela me fit quelque chose, quelque chose de très agréable cela dit. Le cucurbitacée n’étant pas souple il se cogna vite aux parois de ma gorge, la ou un sexe plus souple aurait pu encore se glisser. Il fut malgré tout surpris par ma capacité buccale je pense, et incité à remplacer ce légume par sa queue. Je sortais bien la langue léchant ainsi une paire de couilles imaginaire.

« T’as vu tout c’que tu met ! Tu m’as l’air d’être une belle salope ! »

Je pouvais maintenant enlever les pinces à linges, en desserrant tout doucement pour que cela soit plus douloureux. Je poussa un petit bruit de douleur(du genre :chssssi). Petit supplice, grand délice !Je dus maintenant enduire la courgette  de gel, en la branlant comme je m’y serais prise avec une vraie bite.

« Vas-y, tu peux te branler maintenant ! Tu l’as bien mérité ! »

Je commençai donc à stimuler mon clito, les doigts encore plein de gel, glissant vers la fente, me doigtant…

« maintenant tu vas te mettre la courgette dans la chatte ».

 Je commençai doucement l’enfonçant de plus en plus, cela m’arrachant quelques gémissements au passage :

« aller lime toi bien, fais toi bien jouir ! »

Je m’exécutai évidemment sans rechigner !J’étais très excitée l’orgasme ne fut pas très long à venir. Il sembla apprécier le spectacle. J’étais toute transpirante, encore essoufflée, mes doigts continuaient à tortiller mon clitoris. Il m’indiqua de nettoyer la courgette, avec ma langue bien entendu :

-Ca t’arrive de lécher tes doigts après t’être branlée ?Il ne se lasse pas de me faire avouer qu‘elle belle salope je suis .

-Oui

-Souvent ?Ne se contentant pas d’un simple oui évidemment.

-A chaque fois. »Il ria.

  Il me dit alors de prendre la courgette la plus grosse(et j’avais été gourmande !!!). Il voulais que je la mesure, mais je n’avais rien sus la main, alors tant pis. Je réitérai la même opération qu’avec la première l’enduisant généreusement de gel :

 « met la le plus profond que tu peux. Aller j’suis sur que tu peux encore !

-Elle est au max maintenant.
-Ok. Ca va ?

-Ca fait un peu mal .Elle était tellement large que cela en était douloureux.

-Ok, garde la encore un peu. Je suppose qu’il devait se délecter de ma mine inconfortée, prenant immanquablement le temps qui lui était nécessaire.

-Tu peux l’enlever. »

Je fus ainsi soulagée de cette queue pour le moins insolite . Il me confirma ce que je pensais déjà :

« Il te faut un bon gros gode, bien réaliste, avec un gland bien dessiné et de belles veines. ».

Nous discutâmes encore quelques temps puis il me dis qu’il fallait qu’il raccroche, mais qu’il en était bien incapable.

« Raccroche, c’est un ordre ! ».
 

Après cette première « séance » virtuelle j’aurais dû être fatiguée et bien dormir, mais non j’étais bien trop troublée, trop excitée. Je me mis au lit, tournant, virant, pensant à toutes les choses qu’il m’avait dites. Dans la soirée il m’avais signifié que je pouvais avoir d’autres Maîtres cela ne le dérangeait pas, je ne lui avais pas vraiment répondu, j’avais trouvé là un bon prétexte pour lui écrire un courrier . Je me relevai d’un coup rallumai mon pc et lui écrit :

 

« Je m'étais mise au lit me disant que c'était l'occasion de me coucher tôt mais impossible de trouver le sommeil. Je vous écris aussi pour vous remercier de cette agréable soirée. Je n'aurais d’ailleurs jamais pu raccrocher si vous ne me l'aviez ordonné c’est que j’aime vous entendre parler.

Je voulais vous dire également que si je ne tiens pas à suivre d'autres relations D/s pour l’instant  c'est que je voudrais que ma "première fois" soit avec vous, vous m'avez touchée .Je suis très instinctive en ce qui concerne les rapports humains. Parfois je me trompe mais quand bien même les déceptions font partie de la vie .J’ai l’impression qu'une sensibilité commune nous lie (ou quelque chose du genre) et m'incite à vouloir vous offrir le meilleur de moi-même.

Je n'ose vous embrasser tendrement mais ...

A bientôt

Votre dévouée et soumise déborah.

PS :04h35…les oiseaux vont manger des courgettes demain… »

 

Il se connecta le lendemain soir. Je me débarrassais très poliment alors de quelques interlocuteurs, j’étais sur mon adresse spéciale . J’avais l’habitude de tenir plusieurs discutions en même temps mais j’aimais être complètement disponible pour lui. Lorsque ce fut fait je le lui signalai. Après m’avoir fait les politesses d’usage il m’interrogea :

« Tu t’es branlé aujourd’hui ?

-Oui. Je répondais toujours un peu timidement à ce type de questions.

-Combien de fois ?

-une seule, mais elle a durée une heure.

-Yes !!!  Avec les doigts ?

-Oui .

-Assise sur ton lit, cuisses ouvertes, chatte trempée ?

-Par moment, à d’autre j’étais sur le ventre.

-Que pouvait-il bien se passer dans ta petite tête à ce moment là ?Je peux savoir ?

-J’ai pensé au moment ou les mains attachées dans le dos je vous sucerais jusqu’à vous en lécher les couilles. J’ai aussi penser au plaisir d’échanger des baisers, des caresses et des coups de langue avec une femme  tandis qu’un homme vous regarde.

- C’est malin je bande ! Je trouve ça très bandant de te voir avec une autre femme, vous brouter mutuellement la chatte comme deux grosses salopes ! Ca me plairais beaucoup. On pourra certainement projeter ça, mais pour notre premier rendez vous je te veux toute entière et rien qu’à moi. »

Je fut encore une fois très flattée de cet intérêt. Je ne le voyais jamais, il ne branchais pas sa cam. Il m’avait dit que c’était car il n’aimait pas son image avec la cam, mais je me posais tout de même la question de savoir si ce n’était pas encore un moyen de tester ma confiance, une autre manière subtile d’imposer sa dominance. Malgré cela je pouvais sentir son regard posé sur moi, et souvent lorsque nous discutions je fermais les yeux m’imaginant le contacte de ses mains sur ma peau, son souffle sur ma nuque, et sa queue raide contre mes fesses. Avant d’aller se coucher il voulu voir ma chatte, je pouvais garder mon t-shirt mais je devais enlever le bas et écarter mes cuisses et mes lèvres pour lui. Il rajouta « Exécution ! ». Je me prêtai au jeu et me dépêcha d’obéir. Puis une fois rassasié je pu me rhabiller. Il semblait satisfait.

Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 23:12
 
CHAPITRE I
Même moi, jeune femme aux mœurs pourtant libérées j’avais encore quelques fantasmes inavoués.
I
LA RENCONTRE
Un jour alors que je prenais quelques photos pour mon petit ami qui vivait loin, l’idée me vint qu’il n’y avait pas de raison qu’il n’y ai que lui qui en profite ! Je postai donc un sujet dans un forum choisi presque au hasard (j’étais venue m’y promener au fil de mes pérégrinations internautes). Il s’agissait juste de deux photos très soft de moi : la première en dessous noirs ,assise sur une chaise la main glissée dans le slip, la deuxième nue de dos ,genoux posés sur la chaise le bras passé dans l’entre jambe. Elles étaient un peu floues, naïves et pourtant tellement suggestives.
 
Suite à ce sujet je reçu bon nombre de messages privés, abordés tantôt avec une certaine délicatesse tantôt de façon très directe. L’idée d’avoir tout un troupeau d’hommes fantasmant sur mes photos se déroulant joyeusement la trique, m’amusait beaucoup. J’avais déjà quelques amants virtuels mais là ma liste de contacte msn n’était pas loin d’exploser. J’ai toujours beaucoup d’égare pour mes différents partenaires et entretiens avec chacun une relation différente : avec certain nous ne faisons qu’échanger nos fantasmes et autres histoires cochonnes tandis que d’autres s’exhibent devant moi sans pouvoir me voir devant se contenter de se que je tape puis d’autres avec qui nous partageons le plaisir de nous regarder nous masturber . Mais un message privé retint mon attention plus que les autres.
 
Un homme ,après m’avoir complimenté, se présentait à moi : parisien de 35 ans, attiré par les relations de Domination/soumission ayant quelques années de pratique dans ce domaine. Hétéro, hors milieu, plutôt cérébral, très voyeur et exhibitionniste, clean, plutôt mignon. Il m’écrit qu’il était en recherche d’une jeune femme voyeuse qui assisterait à une de ses séances, lui et une de ses soumises aimant beaucoup l’idée. Il termina son message me remerciant de mon attention et conclue  par « Au plaisir de vous lire ».Ces mots si anodins me touchèrent pourtant beaucoup. Ils réveillèrent en moi ce désir inavoué de soumission. Prenant alors mon courage à deux mains je passais à mon cou une ceinture en cuir cloutée que je pouvais enroulé et porter en collier et pris deux photos. Puis je les lui postais ajoutant un petit mots :
« si les relations D/s m'intéressent ? Je dois avouer que oui...je vous envoie d'ailleurs deux petites photos de moi qui peut-être vous plairont. ».Il s’était adressé à moi en me vouvoyant la moindre des corrections c’était que je le vouvoie en retour.
J’avoue avoir attendu sa réaction avec une certaine impatience. Il trouva mes photos très inspirantes et me fit part de son envie de passer sa laisse à mon joli collier .Je ne pu que lui répondre :
« J'aurais presque envie de vous dire...attachez moi. »
 
Il décida alors que nous pouvions faire plus ample connaissance, mais pas sans établir une première règle :il me tutoyait mais moi je devait le vouvoyer. En lisant ces mots je frissonnai déjà. Nous échangeâmes par la suite quelque messages, il m’expliqua  ce qu’il attendait d’une soumise tandis que moi je lui expliquai  que je n’avais aucune expérience en la matière mais que j’étais très désireuse d’apprendre et de lui permette de poussé doucement mes limites. Je lui communiquai mon adresse msn, enfin mon adresse spéciale. Au premier contacte je n’étais pas devant mon pc, je l’avais donc raté, quel dommage. Je lui adressai un mail dès que je me rendis compte de mon indélicatesse.
Je ne le manquai pas la deuxième fois .Mon cœur battait si fort que je cru qu’il allait arracher ma cage thoracique, j’étais toute tremblante. Il me demanda assez vite de brancher ma webcam . J’ai pris comme habitude de ne jamais ni montrer mon visage ni donner mon vrai prénom aux hommes que je rencontre sur le net, question de préservation et de prudence .Mais quand il me demanda de montrer mon visage je ne bronchai pas, quand il me demanda  mon prénom je le lui dis. Il voulait entendre ma voix, il me communiquai donc son numéro de téléphone. Je le pianotai avec une certaine lenteur ,un peu comme j’aurais tournée ma langue sept fois dans ma bouche avant de dire une bêtise. Il décrocha…J’étais très intimidée et très troublée, ma voix devais trembler . Son timbre me fis vibrer tout de suite .Je me retrouvai  assez vite en tenue légère devant ma webcam, j’en avais pourtant l’habitude mais là je ne sais pas j’avais perdu toute l’assurance que je pouvais généralement avoir face aux hommes, je me livrais à lui toute entière. En quelques minutes il m’avait mise à nue, me faisant avouer mes envies, se délectant de mon appétit débordant pour les hommes.
N’ayant pas de gode il me demanda si j’avais quelque chose sous la main qui aurait pu faire l’affaire une courgette ou un truc du genre, dans la précipitation je ne trouvai  qu’un vieux manche de wok en bois que je nettoyai  le téléphone coincé sous l’oreille..Je revins devant la cam. Je n’avais de cesse de me répéter «  un manche de casserole…pourquoi n’ai-je pas un gode ! » . Je devais en premier lieu lécher le manche comme j’aurais léché une queue, le sucer, je m’appliquai  beaucoup à cette démonstration je voulais qu’il puisse s’imaginer quelle bonne suceuse je suis. . Au moment où il me dît  
 « Tu vois Déborah tu vas prendre ton manche de casserole et tu vas bien te limer la chatte avec . »
Un frisson balaya mon échine, sa manière de dire les choses comme elles sont m’excitait vraiment(à vrai dire cela me fait toujours un sacré effet !). Il me fallait donc  me masturber avec ce manche l’enfoncer bien au fond de ma chatte ,tout entier si possible. Et bien qu’il voulait être en forme pour le lendemain car il avait une séance avec l’une de ses soumises  il se branla me disant «  T’es contente hein ! », en effet je l’étais. Après avoir raccroché nous  restions discuter sur msn. Il m’interrogea sur la taille de mon anus m’expliquant qu’il s’informait ayant l’intention de me le farcir au moyen d’un bon plug avant de me sortir promener avec. Sur le coup j’ eue un temps d’arrêt, en effet la première image qui me vint à l’esprit à ce moment là c’était moi toute nue le plug bien au chaud tenue en laisse par mon très cher Maître, avançant à quatre pattes dans le gazon. Je compris à la seconde même qu’il ne s’agissait pas de ça mais néanmoins je ne pu m’empêcher de lui demander quelques précisions. Je ne regrettai pas d’ailleurs car la description qu’il me fit m’alla droit au cœur…en quelque sorte. Il conclu par :
 « comme une vraie petite chiennasse quoi !
-oui comme une vraie petite chiennasse ,j’en suis toute tremblante. » M’empressai-je de répéter.
Il m’envoya quelques photos de généreuses éjaculations faciales, sachant que c’était quelque chose qui m’inspirait beaucoup. Il m’était difficile de les commenter mais je lui fis comprendre qu’elles me plaisaient beaucoup. Il m’avoua qu’il n’avait pas trente cinq ans mais quarante deux, j’en étais ravie j’aime les hommes plus âgés. Quand j’étais petite mon père n’étant pas souvent là je squattais les genoux des amis de ma mère, passant de longues minutes à caresser les poils de leurs bras. Il partagea également une photo de son visage. Je restais un moment après notre conversation observer ce portrait, ne pouvant détacher mon regard du sien ,ses yeux étaient si noirs et il arborait un petit sourire juste assez discret pour révéler toute la lubricité de cet homme.
 
Puis je m’attelai  à faire quelques photos pour lui comme il me l’avait demandé. Je les lui postais dans la foulée. Il apprécia les photos… j’en étais très heureuse. Puis il m’avoua que moi même je l’avais troublé ,moi ? J’ai du relire ses mots afin de m’assurer que j’avais bien vu, cela m’incita encore plus à être une parfaite soumise s’appliquant toujours au mieux à satisfaire l’esprit vicieux de son Maître.
 
Le lendemain soir il se connecta ,j’étais sur mon adresse spéciale mais mon statut était hors ligne cela me permettais ainsi de filtrer mes communications, et oui avec une trentaine de contactes ça peut vite être l’heure de pointe !!! Il voulais me voir mais il est impossible de brancher la cam avec ce statut, je lui communiquais alors mon adresse msn pour les proches, ce qui n’était pas totalement anodin . Il était indéniable qu’une certaine intimité c’était installé entre nous, un lien fort et léger à la fois. Quand au réveil je me précipitais sur ma boîte mail je me moquais de moi même me disant que je ressemblais à une ado !C’était une sensation divinement agréable, je ne m’en lassais pas. Ce jour là nous avons beaucoup discuté, enfin je l’ai beaucoup écouté, répondant à ses questions et lui confiant des choses très personnelles concernant ma vie, ma façon de voir le monde mes envies mes passions etc. Je ne lui ai pas posé beaucoup de questions mais j’ai pour habitude d’apprendre à connaître les gens en les observant et les écoutant, ses réactions face à mes réponses me donnaient déjà bon nombre d’informations. J’aimais qu’en plein milieu d’une conversation anodine il me dise « tu vas déguster ma bite par la même occasion ! », c’était terriblement indécent et cela ne cesse toujours de m’enchanter. Au fil de la conversation je calmais mes tremblements il avait un coté très apaisant, à l’écoute, curieux de me connaître.
Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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  • : Tout entière ou la biographie d'une apprentie soumise.
  • Tout entière ou la biographie d'une apprentie soumise.
  • : Divers
  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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