Toute entière

Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 22:59

 

V

UNE CONVERSATION VIDEO AVEC ANNA

     C’était un vendredi, je m’en souviens très bien, la veille Anna m’avait avoué rencontrer un autre Dominateur, elle me contacterait à son retour et évidemment me ferait part de tout les détails.

     Elle se connecta avec un peu de retard. Fatiguée mais contente. Elle me raconta alors cette rencontre si particulière avec cet homme, comment elle s’était retrouvée comme une véritable petite chienne à devoir laper dans une gamelle, japper et faire la belle. Elle avait sa manière toute à elle de relater ces événements avec un humour qui à tout les coups me faisait rire, elle me plaisait, nos caractères si divergents s’harmonisaient à merveille.

     Après quelques confidences féminines  je lui demandai s’il elle n’avait pas une webcam. Elle ne savait pas si elle fonctionnait mais elle en avait une, et par bonheur elle fonctionnait. Petit à petit chacune d’entre nous se déshabilla. J’admirai son corps délicieusement fait, son joli petit cul, ses seins charmants, et son sourire…celui là même qui avait ensoleillé ma journée quand j’avait reçu sa photo. Elle promena sa cam sur son corps et moi j’imaginai que ce fut mon visage que je baladai,  ponctuant ce voyage sur ses jolies formes de tendres baisers, de-ci ,de-là, m’attardant sur cette appétissante petite chatte que j’eues volontiers bouffée toute crue si je l’eues eu à porté de bouche. Elle se montra tout à la fois excitée et timide, riant, se caressant, m’excitant…ce moment un peu magique reste gravé en moi. Nous fûmes coupée malencontreusement par un soucis technique.

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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 19:08
VI
VACANCES ET COMPLICATIONS

Voilà, il était parti en voyage, je n’allais pas avoir de nouvelles durant cinq jours. C’était si court et pourtant tellement long. Néanmoins cela allait me donner l’occasion de faire plus longuement connaissance avec Anna. Nous avions continué à converser toutes deux.

Je reçu un mail de moins bonne augure que d’habitude. Je ne sus jamais vraiment  ce qu’il s’était passé entre eux à ce moment précis, juste avant qu’il ne parte en voyage, mais elle ne voulait plus vraiment avoir affaire à lui. Quelque chose  brisa le lien qu’ils avaient tous deux noué, elle avait perdue une partie de sa confiance, et si il y a une valeur primordiale dans la relation entre un Maître et sa soumise c’est évidemment la confiance. Je restai un peu perplexe, je ne compris pas vraiment d’où venait le problème je tentai alors de comprendre, et pour la retenir je lui envoyai un texte parlant de ma rencontre avec notre Maître. Je ne fit que mettre un peu plus d’huile sur le feu, ce ne fut pas l’effet désiré et je m’en mordis un peu les doigts lorsque je reçu sa réponse. J’avais sans le vouloir attiser sa colère. Elle s’était sentie trompée trahie et délaissée. Il n’avait pourtant  jamais fait de différence entre nous deux, du moins dans sa façon de me parler d’elle. Je me retrouvai donc entre deux feux, et lui se trouvait je ne savais où sans possibilité de s’expliquer. Je tentai de mettre un peu d’eau dans le vin rageur d’Anna, mais ce fut assez difficile. Je me refusai à prendre partie. En effet je ne voulais pour rien au monde perdre la complicité nouée avec lui, mais je ne voulais pas non plus perdre l’amitié qui se tissait avec elle. ..situation épineuse. J’étais d’autant plus pressée qu’il revienne, il me manquait et par dessus tout je voulais dissiper tous ces malentendus.

Comme  je pensais beaucoup à lui je pris une série de photo sur le thème de l’élève, des photos que je trafiquai au moyen de Photoshop, et concoctai un petit carnet à son attention, j’y passai une nuit entière, me disant que je m’arrêterai qu’une fois ce petit présent terminé. Je fût assez satisfaite du résultat et maintenant impatiente d’avoir l’occasion de lui offrir. J’y avais mis tout mon cœur dans cet ouvrage, agrémenté de petites illustrations dessinées au moyen de ma plume sur le papier japon qu’il m’avait gracieusement offert. Ce petit carnet symbolisait à mes yeux les liens tenus qui se nouaient entre nous.  

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Dimanche 10 juin 7 10 /06 /Juin 14:10

V
LES DE
VOIRS

 

Le lundi dans la journée je reçu un mail:

 "Ma chère élève dévouée,

Ton empressement à satisfaire mes moindres desirs me touche beaucoup. Si je pouvais, en ce moment, prendre ta main et la poser sur la bosse qui déforme mon pantalon, tu t'en ferais une idée plus palpable je pense.

Je suis plus qu'impatient de mettre en oeuvre de nouvelles scènes autour de cette idée de Professeur/élève. Puisque tu es maintenant mon élève, nous allons commencer tout de suite. Dans le cadre de tes cours par correspondance je vais te donner un petit devoir. Il s'agit simplement de faire cracher des bites. Je sais que tu es coutumière du fait mais il est necessaire de ne pas perdre la main. Je veux voir le sperme, preuve de ton application à devenir une élève consciencieuse et experte dans le fait de vidanger des paires de couilles à la chaine. Je te laisse peu de temps pour ça car mercredi matin je pars et je resterais absent jusqu'au dimanche soir suivant et je ne sais pas encore si j'aurai internet à l'endroit où je serai. Je risque donc de ne pas donner de nouvelles d'ici là.
Je t'envoie de nouvelles photos et je te laisse faire tes devoirs comme une bonne élève appliquée.

Ton Maître."

Cela tombait bien, ça faisait quelques temps que je ne m’étais pas amuser à de tels jeux. Je répondais alors avant de me mettre au travail, confirmant que j’avais bien compris mon devoir et que j’allais m’atteler à y travaillé dès l’instant. J’allais en tout premier lieu me doucher et me préparer, en effet  je voulais tout de même donner le meilleur de moi-même à mes galants. Je n’eu pas bien longtemps à attendre avant de trouver un prétendant prêt  à m’aider en giclant devant la cam. Je ne décevais pas mon interlocuteur, me caressant les seins, m’astiquant le clito, me doigtant. Il devait les avoir bien pleines car il ne fut pas très long à balancer la sauce. Petit soucis j’avais effectivement bien appuyer sur capture, mais je pensai qu’à la manière des captures d’écran que je prenais dans les jeux on-line elle allait se ranger quelque part. Je n’arrivai pas à retrouver ce fichier, j’attaquai alors le deuxième rencard que je n’avais toujours pas trouvé de solution .Je n’allai pas pour autant l’éconduire. C’était un jeune homme de dix-huit ans, Damien .Il me demanda assez vite si j’avais un gode(et oui à présent j’en avais un !). Il voulut que je me l’enfile dans la rondelle, néanmoins j’optai tout d’abord pour le plug. Je lui fit bien  comprendre que ce que j’aimais par dessus tout c’était de voir une bonne queue bien gonflée explosée en gros plan. Je m’enfilai cet objet ,après m’être bien préparé l’anus, cul tourné vers la cam. Il apprécia manifestement le spectacle qui s’offrit devant lui. Puis une fois bien ouverte il me dit que maintenant le gode devrait rentrer sans trop de problèmes. Je savais, pour en avoir fait l’expérience la veille qu’en effet il rentrerait. Le spectacle de cette grosse queue de substitution me ramonant joyeusement le trou de balle le fit cracher, néanmoins je ne pu prendre de cliché de cette copieuse jute. Puis le troisième se rappela à mon bon souvenir, j’avais à peine eu le temps de me rhabiller de nettoyer mes nouveaux partenaires. Je tentais de demander quelques conseils à Antoine mon interlocuteur , mon cochon comme j’aimais l’appeler : en vue de sa délicatesse ce surnom n’était pas volé. Il m’expliqua un truc mais cela ne marcha pas vraiment, néanmoins je tentai quelque chose, je collai directement la capture sur Photoshop, dieu merci cela fonctionna ! Je n’étais pas encore très habile et mon timing fût mal calculé et je capturais une bite molle et collé de sperme, un temps trop tard. Mon très cher  Maître se connecta, venant aux nouvelles . Je lui expliquai mes mésaventures et ce n’est pas sans compassion qu’il me signala mon retard, enfin il me restait encore le lendemain après midi, et vue à l’allure à laquelle je faisais juter  ses couilles bien pleines cela devrait être largement suffisant. J’enchaînai un dernier rendez-vous avant d’aller me coucher. J’avais tout de même assurer le spectacle quatre fois d’affilée et je commençai à fatiguer.

Le lendemain matin je me levai, en règle général  lorsque je me réveille le matin la première des choses que je fais c’est de me branler, cela peut d’ailleurs durer assez longtemps, plus d’une heure parfois. Mais ce matin là je n’étais pas forcément d’humeur particulièrement salace. Mais il m’en faut peu pour passer en mode salope, il ne me fallu pas longtemps pour repartir en quête d’un nouveau courtisan. D’ailleurs j’en dégottais un dès le premier quart d’heure. Je le pris en flagrant délit d’éjaculation, mais la définition de sa cam étant tellement dégeux qu’on n’y voyait pas vraiment le sperme. Une fois satisfait et couilles vidées je le laissai et répondis à la demande d’un nouveau candidat. Il m’offrit d’ailleurs mon premier cliché impeccable, on y voyait son jus couler sur sa main et sur sa queue maintenant luisante. Celui d’après ne fut que meilleur la jute coulant de sa petite queue de petit branleur comme je me plu à l’appeler . En effet il se ventait de se branler trois à quatre fois par jour, nous aimions donc partager cette passion commune. Il adorait par dessus tout me parler de sa petite verge, il en était très fier, c’était plutôt touchant. En tout cas il m’offrit là une sympathique capture bien baveuse.

Entre 14h00 et 20h30 j’enchaînais cinq rendez vous, j’avais même fait du rab !Quelle élève consciencieuse je fis ! Il se connecta, se délectant de me surprendre en tenue d’Ève, je venais de terminer :

« bon alors combien en as-tu fait cracher depuis hier? Vingt? Trente?

Il aimait me sortir des chiffre improbables, je ne sais pas si c’était pour être sur de m’entendre avouer la vérité ou pour m’encourager à en faire encore plus. Je lui dis que non, j’en avais enchaîné neuf en à peine plus de vingt quatre heures, c’était déjà digne d’une belle salope. J’obtins donc en première note un 7/10.

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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 22:15

IV

L’INAUGURATION

 

Il m’envoya de nouvelles photos dans l’après midi, m’expliquant au passage qu’il avait discuté avec Anna qu’il semblait que je lui avais beaucoup plu. Nous parlions quelques temps de nos impressions et notre excitation. Il me questionna sur la date de livraison de mes nouveaux amis comme il les appelait alors. Cela était prévu pour le lendemain ou le lundi qui suivait. Il me proposa de les inaugurer ensemble, cela me sembla être une excellente idée. Mais ce ne fut pas au prix d’un petit supplice, entre le moment où ils me seraient livrés et celui de l’inauguration je n’avais le droit que de les ouvrir, les observer et éventuellement les enfoncer dans ma bouche mais interdiction formel de m’en servir pour titiller ma rondelle ou limer ma petite chatte.

Je les reçu le samedi matin, j’étais presque déçue par la discrétion de l’emballage, en effet cela m’aurais certainement enchantée  de sentir l’amusement gêné du facteur. Je savais qu’il allait me falloir attendre jusqu’au lendemain soir au minimum avant de pouvoir leur faire honneur ,ayant ce jour là un dîner qui finirait certainement à une heure tardive.

C’est les sachant près de moi soigneusement rangés ,prêt à me servir, que je passai cette nuit. Le dimanche paressa bien évidemment s’éternisant en une  interminable attente. J’étais assez impatiente. Quand la soirée débuta je me mis à me préparer. J’avais décidé de passer une jupe en cuir noir, pas courte mais scandaleusement moulante. Un soutient gorge noir et ma veste en cuir par dessus, des bas résilles et mes bottes. J’avais pris soin de passer mon collier. Je m’étais maquillée en conséquence, les lèvres rouges les yeux très noirs, femme fatale en quelque sorte. La fatalité étant malgré tout le fait que j’allais bientôt pouvoir satisfaire mon envie de m’enfoncer dans tous les trous ces morceaux de latex et résines diverses :

« Hello petite pute.

-Bonsoir. »

Il m’intima de brancher ma cam, puis s’inquiéta de savoir comment j’allais, faisant gentiment trainer les choses, me faisant régulièrement remarquer que le temps devait me sembler bien long :

« Quand tu auras fini ta cigarette tu m’appelleras et tu te présentera comme ceci… »

Le temps que je termine ma clope il partagea quelques photos donc une d’une asiatique portant une collerette un peu comme celles que l’on met au chiens pour ne pas qu’ils ne se grattent, dans laquelle une bande de mecs était en train d’uriner. Je fus assez troublée par cette image, je lui en fis part, mais c’était encore incertain dans mon esprit :

« Appelle moi !

-Allo

-C’est votre soumise qui vous appelle pour vous vider les couilles.

-Oh, c’est gentil ça ! »

J’avais déjà tout préparé comme il me l’avait demandé, les toys mais également  des épingles à linge, du gel et des préservatifs. J’allais apprendre une nouvelle leçon d’ailleurs lors de cette inauguration. Je lui montrais donc le gode et il constata qu’il avait une taille tout de même conséquente, et apprécia l’esthétique du réalisme de ce dernier. C’était presque digne de Ron Mueck ! Puis je lui montrait le plug , je n’avait pas fait bien attention en le commandant mais je ne pourrais le coincer il ne se rétrécissait pas à la base . Tant pis je finirais par en avoir un autre. Je posa la capote sur le plug, puis y étala du lubrifiant. Et je préparai mon petit trou. J’y glissais un doigt, puis deux écartant et détendant doucement le muscle. J’étais assise les genoux sur ma chaise, cul tourné vers la cam. Je m’armai de l’engin et entrepris alors de l’y coller au fond. Doucement, strie par strie il pénétrait la chaleur de mon cul, et sans trop de peine vint trouver sa place :

« Assise ! »

Nous reparlions alors de cette fameuse photo, celle de la collerette, il était curieux de connaître mes impressions mais j’avais encore du mal à mettre des mots sur mes sentiments, il me fit comprendre que rien ne pressait que je lui en parlerais quand j’en aurais envie. Ce genre de petit détail augmentait la confiance qui se liait entre nous, il savait toujours m’amener en douceur  à passer mes limites, dénicher ces petites idées qui trottaient dans ma tête sans que je n’en prenne forcément conscience. Sonna l’heure de s’employer à contenter ma petite chatte. Ce ne serais pas sans une petite leçon de chose. J’apprenais alors à foutre une capote avec la bouche. Ce n’était pas quelque chose dont j’avais l’habitude, il me fallu quelques secondes avant de trouver la bonne méthode . Je  compris alors qu’il fallait pousser l’enroulement de la capote avec les dents, tout en pensant que le jour où il s’agirait d’une vraie queue il ne faudrait pas que mes dents ne viennent la blesser. Je pris alors garde d’y aller en délicatesse même s’il s’agissait de latex, histoire de ne pas prendre de mauvaise habitude. Afin de pouvoir descendre le préservatif au maximum je finis la dépose au moyen de mes lèvres que je contractai de façon à  les rendre le plus rigide possible. L’essai, pour une première sur une verge de ce calibre, était relativement satisfaisant bien que je dû finir de le dérouler à la main. Après avoir mis ma chatte en condition, j’enfournai ce gode lentement, sans me brusquer, puis j’appuyai le mouvement laissant échapper quelques murmures :

« Aller gode-toi bien ! Fais toi jouir, depuis le temps que tu attendais ça ! »

Tantôt je le prenais à pleine main en mouvement très rapide, tantôt posé sur le plat de la chaise, embrochée ,jouant du bassin, montant et descendant. Je jouis. Je restai un moment assise sur mes engins, qui se frottaient à travers la paroi à chacun de mes mouvements.  Je retirai le gode, puis le plug, tout doucement comme il me l’ordonna.

« Hum tu es bien ouverte là, tu va bien mettre du gel sur ton gode et tu vas t’asseoir dessus. »

Je m’exécutai à la seconde, et entrepris de me bourrer le cul. Il s’introduit avec une telle aisance que je n’en revint pas. Petit à petit j’en enfonçai un peu plus, rapprochant mes fesses de ses couilles factices. Je soufflai à la manière d’un sportif afin de me détendre un maximum. J’étais ainsi assise vingt  centimètre de latex rentrés dans le cul, il était très content. Puis je le branlais un peu. Mon trou lui était alors complètement offert quand je retirai l’instrument. Il fini de se branler jouissant sur l’idée de m’enculer, de foutre au chaud sa queue sans l’entrave du latex.

Nous terminions cette soirée en discutant un peu. Nous nous quittâmes maudissant tous deux les scientifiques de n’avoir pas mis la téléportation  à notre disposition.

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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 13:07

 

III

ANNA

Peu de temps après mon téléphone sonna. C’était un numéro inconnu de mon répertoire je me doutai bien qu’il s’agissait d’Anna. Je déglutis avant de décrocher, un peu anxieuse :

« Allo ?

-Allo, oui , Déborah ? Euh…c’est Anna…

-Bonjour. »

Je fus plutôt intimidée, elle sembla l’être aussi néanmoins elle s’activa tout de même en questions auxquelles il me fut parfois difficile de répondre. En autre ce qui m’attirait dans les relations Domination/soumission, je ne pus être très explicite, tout ceci était encore assez confus dans mon esprit. Nous échangeâmes quelques  compliments, parlâmes de nos disponibilités communes. Puis assez vite raccrochâmes.

J’aurais aimée être plus expressive, mais je n’y étais pas parvenue, j’avais un peu peur de lui avoir paru froide. Je m’apprêtais à écrire un mail que je lui aurais transmis via notre cher Maître quand justement il se connecta. Il voulait savoir ,bien évidemment ,si nous nous étions parlée toutes les deux, m’interrogeant à propos de notre discussion. Je lui confiai alors que j’avais été assez peu loquasse comme à mon habitude lors d’un premier contacte. Je lui fit part de mon intention d’écrire un mail, étant plus à l’aise avec ce type de communication. Il me donna son adresse. Puis avant de décrocher il s’assura que j’avais bien respecté la règle, bien évidemment je m’étais exécutée comme toujours. Je m’attelai alors à écrire ce courrier de présentation à ma nouvelle amie. Je ne pu me résoudre à ne taper que quelques lignes, non je lui fit une description assez longue et sincère de qui j’étais, m’excusant d’ailleurs d’être à l’écrit quelque peu envahissante. J’étais vraiment ravie et malgré la brièveté de ce premier contacte il me semblait que le courant était passé.

Au petit matin je reçus une réponse que je lus toute excitée. Elle s’excusa(sans aucune raison à mon goût .) de s’être précipitée à appeler à réception du message de notre Maître. Moi je trouvai ça charmant, impatiente et excitée, je fus dès lors enchantée de cette rencontre. Elle avait aimé mon mail, elle avait aimé ma personnalité. Elle se présenta à son tour, m’expliquant comment déjà très jeune elle s’amusait à s’attachée nue à une chaise, puis se sentait idiote d’avoir fait ça, comment se désir se précisa à l’adolescence lorsqu’elle avait regardé « Neuf Semaines et Demi » bien que sa mère choquée par le film ne lui dise que ces gens n’étaient pas normaux. Entre temps elle s’était mariée avait eu des enfants et devait faire face à de sérieux soucis de santé. Elle voulait profiter de ce que la vie pouvais lui apporter de bon, et assouvir ses envies. Elle m’indiqua un lien permettant de lire le récit de sa deuxième séance avec notre Maître. Je m’y précipitai, et me délectai  de ses mots. C’était écrit avec beaucoup d’humour et elle me fit immanquablement rigoler. Il y avait beaucoup de points communs entre nos deux expériences, cela était assez intéressant de voir de quelle manière elle avait appréhendé les choses. Je compris dès lors que nous n’abordions pas la soumission de la même manière, je n’en connaissais pas les raisons profondes mais je pouvais le constater.

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Lundi 4 juin 1 04 /06 /Juin 00:44

II

A TROIS

 

Puis au bout de trois ou quatre jours, assez tard dans la nuit nous eûmes à nouveau une discussion plus longue. Il ne me contacta pas sans une idée précise derrière la tête :

« Je ne te dérange pas ?

-Non pas du tout. »

Après m’avoir fait les politesses d’usage, m’avoir demandé de brancher ma cam et m’avoir au passage dis que cela lui avait manqué de ne pas me voir , il aborda la raison de sa présence. Il voulait me reparler de cette autre soumise pour laquelle il m’avait en tout premier lieu abordée :

« Es-tu toujours intéressée par cette rencontre ?

-Oui. 

-Il faudrait que vous fassiez un peu connaissance d’abord.

-Je pensais vous le demander.

-Attends je t’envoie sa photo. »

Il me posta donc la photo de ce qui était encore à ce moment là une très belle inconnue. Il ne m’avait pas donné son prénom mais  le titre de l’image était « Anna ». Il me demanda alors une chose. Une chose à laquelle je n’avais jamais songé : 

« Que préfèrerais-tu ?Qu‘elle soit soumise au même niveau que toi, un peu au-dessus, un peu en dessous ? »

Je pris un temps de réflexion. Je trouvais l’idée qu’il y ai une échelle dans notre soumission assez séduisante. Et naturellement je pensais que ma place était celle de la plus soumise. Cela me semblait être une sorte d’évidence peut-être car j’étais la plus jeune.

 

J’en profitai pour lui faire part de mes achats on line :

« Laisse-moi deviner. Un gros gode en latex je paris !

-Oui, et un petit plug histoire d’entretenir mon petit trou.

-Salope ! Décris moi le gode que tu as commandé.

-Vingt centimètres de longueur et quatre centimètres et demi de largeur. Assez réaliste avec des couilles et quelques grosses nervures.

-Je te reconnais bien là, tu va pouvoir bien te limer la chatte avec ça ! »

Puis je lui racontai comment était le plug. Il trouvait que je m’étais assez vite habituée au sien et il projetait de s’en procurer un plus gros . La conversation touchant à sa fin il me joint une dernière demande :

« Montre moi ta chatte avant de couper. Ecarte avec les doigts poufiasse ! Eh ! Je m’y revoie ! Aller remballe moi ça avant que ça ne dégénère ! »

 

Je restais contempler cette très belle femme, assise à la plage en maillot de bain, un sourire sublime sur le visage. J’étais déjà conquise par ce que je pouvais voir. J’allais me coucher cette idée agréable en tête.

 

En fin d’après midi il me joint. Il ne resta pas très longtemps c’était juste pour me dire qu’il avait parlé de moi à Anna, qu’il lui avait montré ma photo et qu’elle m’avait trouvée très jolie. Puis il s’assura de ma permission avant de lui communiquer mon numéro de téléphone. Il m’ordonna une dernière chose :

« Tu devras  la vouvoyer au même titre que moi, et pas de dérogation, même si elle te le demande.

-C’est compris.

-Bonne soumise ça. »

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Dimanche 3 juin 7 03 /06 /Juin 17:01

CHAPITRE III

 

Poussé par mon instinct je trace ma vie...

 

 

I

 

HOME SWEAT HOME

 

Après avoir dormi quasiment tout le trajet en train je rentrais chez moi. Je me sentais bien. Un son nouveau rythmait mes actions. A peine mon pc allumé je lui envoyai un mail, vous savez un de ceux que l’on fait pour confirmer que l’on est bien arrivé et que l’on a fait bon voyage. Je n’omis pas de le remercier pour ce superbe weekend passé en sa compagnie.

Nous étions tous deux assez occupés les jours suivant, nous ne faisions alors qu’échanger quelques mail, bien que les miens soient très souvent assez longs. Il m’envoyait quelques unes des photos que nous avions prises. Souvent je n’en revenais pas, c’étais moi sur ces clichés ? Personne ne m’avait jamais photographiée d’une façon aussi sensuelle et flatteuse, saisissant bon nombre de mes différents visages, parfois innocente, parfois très chienne et parfois très affolante.  Cette sorte de symbiose lors de notre rencontre continuait de s’affirmer sur l’écran.

Je souffrais d’ une sorte  de frénésie créative, assez incontrôlable. Je passais des heures devant mon pc à écrire, ou devant mes papiers blancs plume ou pinceau dans la main. Dans ces moments cette passion devient plus que dévorante, me tenant éveillée des heures, me nourrissant de concentration et d’application. J’en ressors toujours épuisée, mais déchargée d’une énergie qui impose d’être évacuée.

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Dimanche 3 juin 7 03 /06 /Juin 00:15

VI

DERNIERES HEURES

 

Je devais prendre mon train vers midi. J’avais réglé  le réveil assez tôt histoire d’avoir un peu de temps devant moi  pour quelques adieux. Mais j’étais réveillée bien avant qu’il ne fut l’heure. Je restais à me rapprocher de lui caressant son torse, sa nuque, l’embrassant. Par moment il me rendait mes caresses s’excusant de se rendormir, il était fatigué. Je ne lui en voulais d’ailleurs pas le moins du monde. Puis l’heure sonna. Il se réveilla alors ,éteignit le radioréveil et se tourna vers moi. Il se mit à m’embrasser, descendant vers mon minou, et commença à s’en occuper. J’étais déjà bien humide et ouverte à souhait quand il me regarda :

« Pff, si je commence on en a pour des heures…tu as un peu de temps devant toi ?

-Un peu.

-Attends moi là. »

Il descendit chercher une capote puis revint. Puis il me pénétra, me baisant comme il se doit, m’emmenant jusqu’à l’orgasme.  J’aimais tant sentir le poids de son corps sur moi, sentir le mouvement de sa queue en moi, ses mains tenant tantôt mes bras tantôt bloquant mes jambes en l’air. Je me tendais de plaisir, me laissais aller à la jouissance. Il se retira. Je me mis alors à lui téter la pine, désireuse de le satisfaire à nouveau, la dévorant pour ma plus grande joie. De sentir sa jouissance était encore plus fort que mon propre plaisir. J’aimais quand ses grognements venaient annoncer le moment si exquis ou il allait déverser sa jute dans ma bouche. Nous ne pouvions décemment pas nous quitter sans cette dernière satisfaction. J’avais là les adieux que je souhaitais ! Il me fit remarquer que j’avais au cour de ce weekend épuisé son stock de préservatifs ce qui ne manqua pas de me faire sourire.

Nous déjeunions vite fait, puis je réunis mes affaires. Nous n’eurent pas plus de temps pour se dire au revoir, nous nous embrassâmes tendrement. Il m’accompagna à la porte. Je jeta un dernier coup d’œil, nous nous regardions un instant, esquissant chacun un demi sourire, puis sur un dernier au revoir et bon voyage il ferma la porte. Je repartais comme j’étais venue, me dirigeant vers la gare, la tête pleines d’images et de délicieux moments, bien décidée à revenir au plus vite.

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Samedi 2 juin 6 02 /06 /Juin 19:13

 

V

 DIMANCHE SOIR

 

Debout, devant le lit l’un face à l’autre nous nous regardions. Il posait sa main sur mon visage que j’inclinais, c’était très tendre. Mais mon sphincter grand ouvert vint casser un peu le romantisme de cet instant en laissant échapper un mélange de lubrifiant et matière fécale, j’étais horriblement gênée, et mon visage devait être écarlate ainsi assorti à mon derrière !Il attrapa un mouchoir me le tendis avec tendresse me disant de ne pas être gênée. Son regard si affectueux, si tendre à ce moment précis  m’alla droit au cœur. Là ou beaucoup auraient été dégoutés, non lui m’accordait encore plus de douceur, j’en fus profondément touchée. Il m’embrassa encore me serrant fort contre lui, baisant ma nuque, et glissant sa langue dans mon oreille, encore un fois je m’abandonna  à lui, j’avais l’impression de fondre dans ses bras. Il m’ordonna de m’allonger sur le lit :

« sur le dos jambes écartées et relevées ! 

-Je peux aller au toilettes d’abord s’il vous plait ? » En effet toute l’eau que j’avais avalée précédemment n’avait pas été évacuée. Je me dépêchai. Quand je remontai il m’attendait allongé sur le lit. Il me fourra alors comme il se doit, tenant mes jambes pour aller au plus profond, me gratifiant de gentils commentaires du genre :

« T’aime avoir la chatte pleine dis moi !Puis moi  répétant entre deux gémissement

-Oui j’aime avoir la chatte remplie . »

Il me bascula sur lui, j’étais alors empalée sur sa bite. Il me tira vers lui afin de m’allonger. Puis il reprit ses vas et viens, très rapidement, m’arrachant au passage un orgasme. Il se retira, je savais se qu’il attendait de moi, et bien que je ne me fis pas prier il me dit :

« Pompe moi ça connasse ! »

 Je me mettais alors à lui téter la pine, comme il aime, comme je sais si bien le faire. Salivant, l’enfonçant jusqu’aux couilles n’oubliant pas évidemment de sortie la langue afin de les lui chatouiller , y restant sans même qu’il ne me tienne la tête. La ressortant pour venir lui lécher pleinement les boules  avant de recommencer :

« Quelle bonne pipeuse tu fais, tu me tues tu sais. Regarde- moi quand tu me suces ! »

Il se dressa sur ses genoux, la queue bien raide au dessus de mon visage. Pendant qu’il se branlait je sortais ma langue pour venir lui titiller le gland :

« Tu attends que je te le dise avant d’avaler. »

Puis ce liquide tiède, juste à température du corps vint inonder mon visage, son goût  âpre  et métallique s’empara de ma bouche. En bonne soumise dévouée je n’avalai rien. Je restais là, bouche à demi ouvert, l’œil gauche à demi fermé. Avec son doigt il ramena le sperme vers ma bouche :

« Tu peux avaler maintenant. ».

Puis il m’essuya le visage, avec une délicatesse et une attention toute particulière, prenant soin de bien nettoyer le coin de mon œil.

 

Nous restions un bon moment ainsi l’un contre l’autre nous regardant, repu de notre journée. Nous parlions peu, nous profitions juste de ce moment apaisant, nous laissant parfois aller à de langoureux baisers. Au bout de quelques temps, je serais bien incapable de vous dire combien, quand nos ventres se mirent à gargouiller il me proposa de cuisiner quelque chose. Nous buvions un verre de vin, grignotant quelques olives. Puis nous passions à table. Nous étions plutôt fatigués et décidâmes de ne pas sortir mais de regarder un film, un film tout public je précise. Ce fut encore une fois l’occasion de se découvrir dans la simplicité. Nous nous couchions peu après.

 

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Par Coquelicot - Publié dans : Toute entière
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 02:32

IV

LA BOUTEILLE D’EAU

 

 Il avait un peu faim et décida qu'il était l'heure de préparer quelque chose à manger. Le temps qu’il cuisine un excellant velouté de potimarron il me donna quelque livre à feuilleter afin de me faire patienter. Le premier de la pile étant d'un artiste japonais qui dessine à la manière des estampes, des images érotiques et cruelles à la fois, parfois très choquantes, parfois assez drôles...Je pense que ce n'était pas un hasard s'il l'avait posé sur le dessus de la pile. Je m’escrimais à m'assoir de la manière la plus confortable possible, cela devait beaucoup l'amuser. Je déjeunai donc  ainsi, assise sur mon plug. Cette situation insolite me ravissais, par moment je n’y réfléchissais plus et par d’autre cela m’excitais terriblement. Je crois que  le plus stimulant  c’était l’idée que lui avait dans la tête. Il se régalait de la situation je suppose, peut être y pensait il tout le temps, pas comme une obsession mais plutôt comme une arrière-pensée qui venait titiller sa matière grise. J’acceptais volontiers les deux verres de vins qu’il me proposa. Je bu un café. Je fumai une clope à la fenêtre.  Je me rassis à la table ,il me mit une montre au poignet gauche. Je m'interrogeai, pourquoi une montre?

 « tu vois quelle heure il est?
-oui quatre heure moins de quart. » Répondis-je un peu inquiète.

Puis arborant un sourire délicieusement vicieux il attrapa une bouteille d'eau me disant que j'avais une heure pour boire cette bouteille et une partie d'une autre déjà entamée posée sur la table désignant un des traits moulé dans le plastique comme repère. Je compris de quoi il s'agissais et je regrettais déjà d'avoir bu un café.

Il me passa le collier autour du cou et y fixa sa laisse.
« En attendant on va regarder quelques films. »
Nous nous installions devant son pc, il passa plusieurs extrait. Entre autre des japonaises buvant des quantités assez impressionnantes de sperme déversées dans des saladiers ou autre récipient à taille assez impressionnante. Dans certains extraits il s'agissait d'américaines entourées de mâles bien membrés, aux éjaculations copieuses...Et, chose qui l'excite beaucoup des filles glissant leur poing entier dans la chatte d'une autre...J'en reste toujours impressionnée d'ailleurs .Durant  ce temps je m'activais à boire toute cette eau, j'avais l'impression que ma vessie allait explosée!!! Il se leva me disant :

 « j'ai envie d'aller pisser. Il revint des toilettes lâchant un soupir de soulagement ,ah ca fait du bien !me regardant avec son fameux sourire. Tu peux finir avant si tu veux. »

 Il me restait encore un quart d'heure mais je n'en pouvais plus, le plug appuyait sur ma vessie. Je fini ce qu'il me restait à boire ,il me demanda de me déshabiller totalement. Je m'exécutai. Il alla chercher son appareil photo à l'étage, moi je me tortillais comme une gosse qui demande la permission au Maître à la dernière minute :

 « Dans la baignoire. »

J'y allais faisant preuve d'un effort surhumain afin de ne pas me tortiller devant lui. Mon ventre gonflée au maximum poussait le plug vers la sortie, je le repoussais régulièrement de sorte qu'il  reste en place. J’étais accroupie dans la baignoire, tremblante , le moins que l’on puisse dire c’est que je n’en menais pas large. Il alluma le robinet du lavabo, un petit filet bien bruyant s’en échappait maintenant. C’était divinement sadique, et même si ça ne se remarqua pas sur mon visage je souris intérieurement :

 « T'as envie de quoi là tout de suite?

-de faire pipi, lui répondis-je, les larmes aux yeux de me retenir.

-Il va falloir me le demander.

-Est-ce que je peux faire pipi s'il vous plait? Il me tendit un verre.

-tu peux mais tu ne dois pas déborder!"

Mon muscle était tellement contracté que je dus faire preuve de concentration pour réussir à pisser, j'y allais doucement je ne voulais pas en mettre une goûte à côté, mais je me disais que je n'allais jamais réussir à m'arrêter. A mon plus grand étonnement j'y parvint, pas une seule goûte à côté !

« Ca va mieux? J'acquiesçais. Alors au boulot!», il me présenta sa queue déjà bien enflée, je m'exécutai.

 « Stop! Comme je ne m’arrêtai pas assez vite il repoussa ma tête

- stop! »

Il me retendit le verre et je réitérai l'opération. Il le vida également, pour me le retendre ensuite. Ou voulait-il en venir? Allait il me faire vider ma vessie de cette manière? Une fois le verre remplit:

« Garde le dans les mains. Tu vois tu as bu beaucoup d'eau, ton urine est donc bien diluée, bien claire, c'est quasiment de l'eau, tu vas en gouter un peu! »

Voilà ce que je redoutais le plus me tombais dessus, je restai un long moment regardant se verre qui réchauffait mes mains de sa tiédeur, puis je trempai mes lèvres aspirant une larme, voir même une demi larmes.

"Encore!"

Il compris que s'il ne m'ordonnais pas une quantité à boire j'allais continuer à juste tremper le bout de mes lèvres. Il me montra un trait sur le verre, comme pour la bouteille d’eau, ça ne sembla pas faire beaucoup et en bonne soumise je me jetais à l'eau. Mais le goût était très fort et l'expression de mon visage devait être parlante car il me dit :

« C'est bon. Me regardant avec tendresse, tu ne l'aurais pas fait si tu n'en avais pas envie n'est ce pas?

-non je ne l'aurais pas fait.

-Ok, tu peux te vider. »
Il resta me regarder tout le temps ou je vidai ma vessie me disant que de me regarder ainsi l'excitait beaucoup.

 « Aller rince toi et rejoins moi à côté. »

Je passa du savon sur mes pied, jambes et chattes. Je tremblais, j’avais froid. Puis avec le jet du pommeau de douche je rinçai, mais je rinçai aussi ma bouche. Le goût fort et âpre semblait collée à mon palais, je rinçai, crachai tout ce que je pu. Même sortie de la baignoire je continuais dans le lavabo. J’étais terriblement troublée, mon sentiment se baladait entre l’excitation et le dégoût. Oh mais quelle soumission !Je n’en revenais pas moi même !A partir de ce moment là, l’image de mon très cher Maître vidant sa vessie sur mon corps, me baptisant à la pisse ne cessa jamais vraiment de me quitter. Je l’avais laisser entre ouvrir une des portes que je pensais fermée à double tour, quoique j’aurais du me douter qu’elle n’attendait que d’être poussée. Je me rappelle y avoir régulièrement pensé depuis le jour ou j’ai regardé le film « Les Nuits Fauves ». Il y a un passage où Cyril Collard  se fait pisser dessus par trois ou quatre mecs. Le jour ou je vis le film je fis comme toutes mes copines « beurk ! », mais pourtant au fond de moi l’image de cette scène me troublait complètement. Sans vraiment pouvoir mettre des mots sur cette sensation  particulière je ressentais  déjà un profond désir de soumission. Une soumission la plus absolue dont  je puisse faire preuve, sans condition. Je n’y pensais plus trop, ayant durant ces dernières années enterrer ce genre de fantasmes, un peu honteuse certainement. Mais de temps en temps, à des moments ou je me masturbais pensant à des scène de soumission, me faisant peloter, enfiler et inonder de spermes par une assemblée de mecs,  je finissais par me faire rincer à la pisse. Cette introduction à l’urophilie me remis cette idée en tête.

Je n’eu pas beaucoup le temps d’y réfléchir car mon très cher Maître m ‘attendait dans la pièce à côté. Je sortis de la salle de bain. Il était à l’étage. Je restai alors quelques instants près du radiateur histoire de me réchauffer un peu, un peu perdue dans mes pensées…ça n’allait pas durer longtemps. Il redescendit le bâillon dans les mains. Il me le mis.  Il voulais me passer les bracelets de cuirs au bras mais mes bras étaient trop fins, il me passa alors ceux en tissus, et les bracelet en cuir aux chevilles :

« Allonge toi sur le ventre, là. »Me dit-il en désignant le pouf.

Il accrocha mes poignets aux pieds en métal, puis m’intima d’ écarter les jambes :

« Complètement, je veux qu’elle soient de chaque côté du fauteuil ! Voilà c’est parfait. »

Il attacha également mes chevilles. Je ne pouvais plus bouger, complètement à sa merci, j’adorais ça. J’étais bonne pour la fessée, je me doutais bien qu’il avait l’intention de bien échauffer mes fesses et ma voix ! Tout d’abord il fit claquer le plat de sa main sur mes fesses, bien fort et en série, de grosses fessées douloureuses qui évidemment me firent crier. Puis estimant certainement que qu’elles n’étaient pas assez rouge il alla se munir d’une spatule en bois, claquant parfois doucement mais rapidement puis à d’autre frappant  avec vigueur.  Il retira alors le plug gardé au chaud depuis plusieurs heures, tout en douceur comme il sait si bien le faire, ce qui m’arracha quelques gémissements atténués par le bâillon. Il pris quelques photos de mon anus ainsi bien ouvert, tout prêt à accueillir sa queue ,le cul rouges d’avoir été fessée avec autant de fougue. Il commença à me pénétrer, brutalement, à tel point que ses à-coups faisaient avancer le siège. Je criais, soufflais fort à travers les trous du bâillon. Il se retira un moment me disant :

« Je t’avais prévenue que t’allais te faire enculer ! »

Puis il me pénétra à nouveau, restant par moment sans bouger lové au chaud dans mon trou du cul, reprenant ses vas et viens. Mais mon pauvre anus avait dû en prendre trop d’un coup et s’était irrité, il commença a me faire mal. Je lui fis savoir. Il arrêta alors. Puis ma main droite commençait à s’engourdir, il me détacha complètement. C’était au tour de ma petite chatte de se faire baiser ! Nous montions à l’étage.

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  • : Tout entière ou la biographie d'une apprentie soumise.
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  • : Me voici à la découverte d'un monde nouveau celui de la Domination/ soumission. Il s'agit également d'une rencontre entre deux êtres complémentaires que lie une complicité fulgurante. Ce récit est ponctué de photos, d'aparté et d'humeurs du jours. Bienvenu dans mon aventure érotique.
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